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La première partie de Valérian est brillante, réunissant les deux grands principes de la science-fiction, la prospection et le délire ; lorsque Besson ne raconte rien ou pas grand-chose (la séquence du "Big Market" ou la traque d'un truc entre deux niveaux de réalité), se laissant aller à son un "déréglement de tous les sens", on plane très haut, dans une SF psychédélique carburant à la vignette colorée et pop. Mais à la fin, dès que le carcan du scénario (prévisible et déjà vu) se referme, la chute fait mal. Dommage, mais ce n'est pas une raison pour ignorer ce geste de cinéma mégalo et unique dans les annales françaises.
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- Valérian et la cité des mille planètes
Valérian et la cité des mille planètes
Première
(1 critique)