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Après le lénifiant The Big Year, David Frankel continue de s’affirmer comme le pape du « cinéma coaching », chaque nouveau film étant pour lui l’occasion de prodiguer à ses spectateurs de gentils conseils de développement personnel. Destiné à un public de seniors, Tous les espoirs sont permis scrute ainsi l’érosion du désir chez les personnes âgées et donne des tuyaux pour y remédier. Joli sujet, beau geste. Dommage que tout ça prenne la forme d’une succession de sketches franchement embarrassants – dans une séquence appelée à devenir culte, Meryl Streep entreprend de faire une gâterie à Tommy Lee Jones dans un cinéma où est projeté... Le Dîner de cons ! Pop songs sirupeuses, gags navrants, Steve Carell aux abonnés absents : à l’image de son protagoniste masculin, voici une comédie qui bande mou.
Toutes les critiques de Tous les espoirs sont permis
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Très drôle, il explore aussi les ravages du temps sur l'amour et la mariage, et se révèle touchant mais son côté aussi excité qu'incongru nous amuse chaleureusement.
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Cet analyse d’un long mariage dont la flamme s’est s’éteinte prouve bien que l’amour à n’importe quel âge suscite des questionnements et que le sexe est toujours un sujet de remise en question.
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Quand Meryl Streep rencontre Tommy Lee Jones devant la caméra du réalisateur du Diable s’habille en Prada, cela donne une comédie sensible et attachante sur les aléas de la vie conjugale. Touchants et drôles, ces deux géants servent avec tout leur talent cette histoire banale et si vraie, dans laquelle beaucoup se reconnaîtront.
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Un petit film attachant, parfaitement joué qui va réveiller des émotions inconscientes enfouies. Une élégante comédie dramatique pour adulte.
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Vous aurez envie de rentrer chez vous et de faire l’amour à votre époux(se), au moins de le serrer dans vos bras ou l’embrasser passionnément.
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Cet analyse d’un long mariage dont la flamme s’est s’éteinte prouve bien que l’amour à n’importe quel âge suscite des questionnements et que le sexe est toujours un sujet de remise en question.
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La performance d’interprétation de ces 2 génies est remarquable, mais on a envie aussi de se laisser emporter par le film et de suivre les aventures de ces 2 stars du cinéma qui rencontrent des problèmes sous la couette.
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Voir Meryl Streep et Tommy Lee Jones confier leurs fantasmes au thérapeute Steve Carell ou s'adonner à des travaux pratiques pour pimenter leur vie de couple offre en effet son lot de scènes croustillantes.
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Un pari réussi : une comédie dramatique populaire qui expose sincèrement et intelligemment les problèmes que peut rencontrer un couple après 31 ans de mariage.
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Une comédie houleuse et croustillante avec travaux pratiques à la clé où Meryl Streep et Tommy Lee Jones retrouvent avec bonheur les vertiges de l’amour.
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La performance formidable de Tommy Lee Jones et Meryl Streep rend « Tous les espoirs sont permis » très attachant.
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On se sent aussi mal à l’aise que lorsqu’on est pris à parti dans des discussions interminables entre 2 personnes que l’on apprécie et qui ne se comprennent pas.
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Après une première phase d’agacement face à la médiocrité du style du réalisateur du « Diable s’habille en Prada » et au cabotinage des deux acteurs (Mery Streep en mémère desperate housewife et Tommy Lee Jones en mari bourru), quelle n’est pourtant pas notre surprise de finir par succomber pourtant au (très discret et très calibré) charme de cette comédie romantique.
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Un portrait juste et larmoyant se dresse un portrait juste et souvent sans concession des dommages engendrés sur un couple par l'usure du temps. Il s'en dégage un discours frontal suprenant, servi par d'excellents acteurs.
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Gêne, malentendus et gags rigolos sur les "exercices" sexuels recommandés par le psy, un Steve Carell écrasé par ses partenaires... Tout va bien jusqu'à ce que l'eau de rose vienne noyer le peu de piment : la mièvre apologie du mariage est inscrite dans le cahier des charges.
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Le plaisir, pour être honnête, tient exclusivement au face-à-face de deux excellents comédiens.
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D'accord, Le diable s'habille en Prada, c'était lui. Mais on va finir par s'apercevoir qu'il s'agissait d'un accident dans la filmographie de David Frankel. Le voici revenu au bas niveau de quelques autres de ses mises en scène.
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La trivialité du propos de David Frankel n'a d'égale que la littéralité de sa mise en scène. Une telle absence de subtilité condamne les personnages à la caricature.
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(...) le postulat amusant de cette comédie romantique à la papa tourne vite au numéro d'acteurs un peu vain.
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Hélas, malgré une pointe d'irrévérence, le film est didactique et dénué de profondeur. Rien de mieux, apprend-on, qu'une fellation pour rallumer l'étincelle des premiers jours. Meryl Streep et Tommy Lee Jones méritaient mieux, nom d'une pipe!
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Tout de même un peu déprimant.
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Le postulat amusant de cette comédie romantique à la papa tourne vite au numéro d'acteurs un peu vain. Meryl écrase une larme, Tommy râle. Bref, rien que de l'ordinaire ! Quant à Steve Carell, on le préférait en comique timide dans "Quarante ans, toujours puceau".
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Une version sexagénaire du mariage occidental en danger, professionnelle et classique, dont le principal intérêt est d'observer comment l'Amérique utilise et regarde ses vieux héros.
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Des comédiens chouettes dans un téléfilm filmé sans invention.