-
Tourné façon documentaire comme Paranormal Activity, Devil Inside enchaîne avec fluidité les témoignages de ses interlocuteurs. Hélas, malgré quelques bonnes idées, le scénario se révèle sans grande surprise et le dénouement, décevant.
-
Un scénario de série Z et une actrice principale au timbre de voix aussi expressif qu'une mélodie ratée !
-
Cette vilaine petite chose qui se croit maligne avec un scénario de documenteur totalement réchauffé (...), est probablement ce qui s’est fait de pire dans le domaine, de quoi provoquer une indignation générale du public présent dans la salle (...) quand le générique de fin est tombé abruptement sur l’écran alors que les choses commençaient à devenir sérieuses et un minimum plus enlevées. Une telle chute est tout simplement une honte, ou une arnaque totale.
C’est que, Madame, la bande-annonce vous montrait tout ! Et grâce à ce miraculeux montage, d’une diabolique efficacité, l’Amérique adolescente entière s’était faite berner (énorme succès en première semaine, cata le week-end suivant !), pensant être face au Paranormal activity de l’année 2012. Que dalle ! -
ce faux documentaire à base de possessions sataniques et de caméra subjective, vraisemblablement écrit sur un coin de table, privilégie le réalisme au spectaculaire. De là à comprendre son carton au box-office américain…
-
D’année en année, chaque pâle resucée de « l’Exorciste » (1973) s’éloigne un peu plus de sa puissance originelle!. Imaginé par l’un des producteurs de « Paranormal Activity », ce « Devil Inside » pensait surpasser ses prédécesseurs en gratifiant son exorcisée de quatre démons simultanés, pas moins. Il restait à trouver un scénario exploitant fructueusement l’idée. Là, on n’a pas vu.