-
La version teenage de « ghost ».
-
Avec « si je reste », Cutler nous vend un produit particulier mais il le fait bien et avec honnêteté.
-
ce récit émouvant offre un rôle magnifique à la jeune et talentueuse Chloë Grace Moretz, qui crève l'écran.
-
Une machine bien menée, correctement réalisée pour les adeptes de productions larmoyantes.
-
Si vous n’êtes pas en larmes avant la fin, c’est ce que ce film n’est pas fait pour vous.
-
Le traitement est un peu superficiel pour un drame qui tourne autour d’une petite fille de 12 ans.
-
On y va pour voir les femmes endosser les rôles principaux (...) et si on est fan de l'esthétique "Sin City" (...) On évitera ... parce que les scènes sont très inégales et la voix-off de chacun des personnages qui vient signaler que l’on entre dans un nouveau chapitre devient vite agaçante.
-
"Si je reste" est au mélo ce que Starbucks est au café : un ersatz pas déshonorant, mais certainement pas excitant.
-
En dehors de la fraîcheur de Grace Moretz ("Kick-Ass"), le film pèche par sa réalisation empesée et son manque de profondeur.
-
Au cœur d’un long-métrage dont l’intrigue ne tient, comme la vie de Mia, qu’à un fil, le scénario des plus classiques finit par lasser rapidement. En attendant le prochain livre pour jeunes adultes adapté au cinéma, qui sera espérons-le plus palpitant.
-
« Si je reste » navigue entre des images larmoyantes à l’hôpital et des flashbacks passés sur la relation Mia-Adam, la romance se situe là où on l’attend.
-
Cette adaptation ennuyeuse du roman de Gayle Forman rend l’histoire insipide.
-
Tout cela semblait moins ridicule par écrit.
-
Tous les éléments de ce film semblent artificiels et peu crédibles, il ne mérite pas nos larmes.
-
Moretz est une jeune femme attirante dont la carrière est prometteuse mais « si je reste » n’est pas le film qui la met en valeur.
-
Dans la lignée du récent "Nos étoiles contraires", le film est l'adaptation d'un best-seller de la littérature adolescente. R.J. Cutler, assis entre deux chaises, balance entre la romance un peu mièvre (...) et le mélo franchement pataud.
Si Je Reste