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Le titre français parle de lui-même, repère historique et géographique qui situe le film à l’épicentre de l’apparition du sida. Les premières angoisses, les premiers doutes, les premiers tests, les premiers morts… Fragile danseur contemporain, le héros prend cette violence de plein fouet dans une chronique à l’intensité un brin diluée mais digne, et même joliment érotique quand il le faut.
Toutes les critiques de San Francisco 1985
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Servi par une mise en scène inspirée, qui fait la part belle à la danse, aux corps en mouvement, à la peau, le film se concentre moins sur les ravages physiques de la maladie que sur les effets induits par la menace qu’elle représentait.
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Le propos est trop simple, les scènes de danse sont trop longues. Ça n'empêche pas ce film de Chris Mason Johnson d'émouvoir.
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Portraits émouvants du passage à l’âge adulte d’une jeunesse rattrapée par la tragédie du sida, en 1985, lors des premiers tests du virus. La conclusion finale justifie à elle seule tout le film.
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Chris Mason Johnson n’a pour l’instant ni la patte feutrée de la caméra d’Ira Sachs ou d’Andrew Haigh ni l’ampleur de la minisérie "Angels in America" du grand Mike Nichols, ses modèles