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Poupi, qui s’en tient à un canevas plus narratif et à l’observation simple des phénomènes naturels, n’a pas encore la dimension d’observation du monde humain qui donne une dimension à la fois plus poétique et plus critique à la petite taupe. Néanmoins, on y trouve déjà une belle utilisation de la musique (les quelques dialogues encore présents chez le petit chien disparaîtront chez les personnages suivants), ainsi que de magnifiques décors réalisés en aplat. Cette simplicité offre une très belle entrée en matière dans l’univers du cinéma et, par son format, est idéal pour une toute première séance dans les salles obscures.
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Le soin apporté à la musique de ces aventures gracieuses et poétiques rappelle le Disney des grandes années.