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Playtime est à la comédie ce que 2001, l'odyssée de l'espace est à la science-fiction : une œuvre maniaque, obsessionnelle, sidérante, d'une intelligence et d'une exigence rares. Jacques Tati n'a jamais porté aussi loin ce concept du « cinéma démocratique ».
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Le film le plus visionnaire de Tati, plastiquement stupéfiant. Inégalable.
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Playtime est un grand moment d’hilarité perpétuelle, une « récréation » comme l’indiquait le titre de travail original. (...) Une richesse à la fois visuelle et auditive (quel montage sonore fabuleux !).
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A la sortie de PlayTime en 1967, Henry Chapier parla dans Combat d’un « navet monstrueux ». Tout le monde peut se tromper, et on ne saurait trouver de terme plus éloigné que « navet » pour qualifier le quatrième long-métrage de Jacques Tati. Il y a pourtant bien quelque chose de monstrueux dans ce film…