-
Il y a, dans le cinéma "à l’arrache" de Cheyenne Carron, quelque chose d’un John Cassavetes au féminin, voire d’une Maïwenn encore confidentielle. Sans égaler l’élan romanesque de La Fille publique ou l’électrisante intensité de "L’Apôtre", son nouveau film offre des pics d’inspiration humaine et visuelle. Soit les destins croisés de deux ados des cités : l’un, blanc, qui tente de s’intégrer dans un monde inconnu, l’autre, noir, de plus en plus habité par ses origines camerounaises. Parfois trop prévisibles, les soubresauts de leur amitié donnent une image saisissante, noble, lucide et lyrique d’une France multiple, de sa jeunesse, de la grandeur de ces deux êtres et de leurs contradictions
-
Il y a, dans le cinéma "à l’arrache" de Cheyenne Carron, quelque chose d’un John Cassavetes au féminin, voire d’une Maïwenn encore confidentielle. Sans égaler l’élan romanesque de La Fille publique ou l’électrisante intensité de L’Apôtre, son nouveau film offre des pics d’inspiration humaine et visuelle. Soit les destins croisés de deux ados des cités : l’un, blanc, qui tente de s’intégrer dans un monde inconnu, l’autre, noir, de plus en plus habité par ses origines camerounaises. Parfois trop prévisibles, les soubresauts de leur amitié donnent une image saisissante, noble, lucide et lyrique d’une France multiple, de sa jeunesse, de la grandeur de ces deux êtres et de leurs contradictions
Toutes les critiques de Patries
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Toujours aussi loin de la caricature que du politiquement correct, la réalisatrice propose à nouveau un film très modeste dans sa forme, mais très riche dans les moyens qu’il trouve d’inviter au dialogue.
-
Toujours aussi loin de la caricature que du politiquement correct, la réalisatrice propose à nouveau un film très modeste dans sa forme, mais très riche dans les moyens qu’il trouve d’inviter au dialogue.
-
Le film agace par sa naïveté et ses facilités, mais émeut par ses moments de vérité.
-
Le film agace par sa naïveté et ses facilités, mais émeut par ses moments de vérité.
-
Deux destins maladroitement traités pour un résultat qui tourne court.
-
En ces temps où on ne cesse de nous parler n’importe comment d’identité nationale, on peut dire que l’hypothèse avancée par Patries est franchement discutable tant elle est simpliste.
-
Deux destins maladroitement traités pour un résultat qui tourne court.
-
En ces temps où on ne cesse de nous parler n’importe comment d’identité nationale, on peut dire que l’hypothèse avancée par Patries est franchement discutable tant elle est simpliste.