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Une histoire douloureuse de fascination pour une famille, qui résonne comme un hommage inconditionnel au cinéma et à sa première ambassadrice : Catherine Deneuve. Un mélo maîtrisé de bout en bout.
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Le scénario (...) entremêle drame psychologique et suspens avec une évidente réussite, même s'il charge parfois maladroitement la barque. Mais qu'importe puisque dans cette partition sensible, les acteurs son au diapason dans l'émotion juste.
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Le scénario familial, vieille passion française, n’en finit pas de se raconter : Les Yeux de sa mère, troisième film et hit programmé de Thierry Klifa, y veille.
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Le scénario brasse les sentiments et les destins avec une ambition très « almodovarienne », quitte à suivre trop de pistes, quitte à sembler maladroit. Il n’empêche, sa générosité, doublée d’une sincérité absolue, donne envie de l’aimer.
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Un mélo à tiroirs, où le romanesque partage la vedette avec des actrices bien servies. (...) Mille-feuille, le film laisse au spectateur le choix de son degré lecture.
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Si l’intrication des situations sent un peu le tressage scénaristique, c’est dans la résolution, aussi fausse que douce, que se gagne le film.
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Récit choral saturé de péripéties où un deuil donne le top départ à un crescendo de douleurs, de manipulations et d’espoirs mêlés, « les Yeux de sa mère » flirte à chaque instant avec l’abîme du « too much ». Mais, emporté par la grâce presque musicale de sa mise en scène, la lumière collective de ses acteurs et l’humanisme blessé de son scénario, c’est avec un panache inespéré qu’il atteint le statut et la dignité d’un beau, d’un grand mélodrame.
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Une intrigue cousue au gros fil et une surabondance de personnages perdent le spectateur dans une histoire touffue, surdosée en grands sentiments. (…) Ce n'est pas si mal, mais cela aurait pu être mieux si Thierry Klifa avait allégé son plat avant de le servir.
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Thierry Klifa a placé sa carrière de réalisateur sous les auspices de la romance sentimentale et du casting à forte valeur ajoutée. Le mélange, qui n'a en soi rien de honteux mais souffre en la circonstance d'un profond manque d'originalité plaît au public et est aujourd'hui remis en service (...) pour les besoins d'un mélo choral en milieu privilégié.
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Pour ceux qui s’intéressent aux traumas familiaux de la bourgeoisie parisienne, Les yeux de sa mère est sans nul doute l’une des réussites d’un genre discutable, mais pour une fois regardable
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Scandales, pathos et gros sabots : c'est France Dimanche mis en images animées, mais avec des acteurs inanimés.