-
Retour à la veine autobiographique pour René Féret, indispensable franc-tireur du cinéma français, avec ce film drôle et surprenant réalisé en totale liberté et prise de risque.
-
Intime et léger, le nouveau long métrage de René Féret excelle dans l’art de la vraisemblance.
-
Cette chronique, qui pourrait être celle des déboires de la création, regarde du côté de l'espoir, d'une possible légèreté. Et nous touche au coeur.
-
Cette chronique intimiste inscrite dans un cercle familial, tournée en scènes souvent improvisées ne sent pas la théorie. Elle raconte avec humour et naturel les hésitations, les coups de tête, les impuissances, les inspirations brusque de la création cinématographique.
-
Une réjouissante comédie servie par un brillant quatuor.
-
René Féret livre ici une fantaisie autobiographique agréable, mais qui se révèle plutôt anecdotique.
-
Tout cela n'est pas follement original, mais drôlement juste. A la limite du documentaire, René Féret enchaîne les séquences sans prendre forcément soin de les cheviller comme dans un scénario traditionnel. Au bout du compte, c'est très malin. N'ayant pas les moyens, encore moins l'intention, de refaire La Nuit américaine ou Huit et demi, sur les coulisses de la création, le cinéaste se contente d'une savoureuse étude de caractères, servie par des interprètes en pleine forme - Frédéric Pierrot, Sabrina Seyvecou, Antoine Chappey, Marilyne Canto - qui font toujours plaisir à voir.`
-
René Féret signe, dans un registre qu’on lui connaît peu, une comédie étrange et légère, pleine d’autodérision
-
Cette comédie au charme subtil possède l'une des plus constantes vertus des films de son auteur, René Féret : la justesse.
-
« Le Prochain Film » est une œuvre élégante, qui se délite quelque peu sur la durée après une ouverture brillante de drôlerie étranglée, mais garde jusqu’au bout un charme indéniable en offrant à quatre comédiens complices des partitions à la hauteur de leur talent.
-
Cette autofiction manque d’autodérision. Il faut s’accrocher pour pénétrer l’univers de l’entre-soi du cinéma. Grâce aux répliques mordantes de Marilyne Canto, le film gagne un peu en vivacité. Mais le spectateur reste sur sa faim, déçu de ne rien voir sur les coulisses du 7e art.
-
Aïe aïe aïe… voilà des acteurs qu’on aime, et qu’on aime même beaucoup, dans un film sans intérêt, tourné dans le salon, dans la cuisine, avec ou sans parmesan sur les pâtes. Tant d’autosatisfaction, tant de platitude…