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En deux parties et quatre docus, Jerôme de Missolz dresse les portraits d'artistes disséminés partout dans le monde. Point commun: ils étudient le corps avec fascination. Dans le lot, on retiendra le segment Sans titre, qui évoque le travail de la photographe Francesca Woodman et transmet avec succès une sensualité hypnotique.
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Chairs malaxées, pincées à l'épingle à linge, femme robe ouverte, femme nue devant murs décrépis, maculée de boue pour se fondre dans le fond, cachant son corps sous des pans de papiers peints décollés, ou accroupie, recroquevillée. La démarche est intéressante, le résultat un rien scolaire.