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Gainsbourg chantait « La beauté cachée des laids ». María Victoria Menis, elle, la met en scène avec élégance et intelligence. (...) À travers les deux personnages principaux, c’est à toute une série de sujets éminemment cinématographiques que s’intéresse la cinéaste : le regard (et sa subjectivité), l’art (on est en pleine révolution surréaliste, qui va bouleverser la notion même d’art), la définition toujours fluctuante de la beauté, etc. Mais le film de María Victoria Menis se distingue aussi par sa forme, presque classique et tout à coup symboliquement déchirée par l’irruption de séquences d’animation ouvrant sur d’autres réalités.
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Un film si doux qu'on ne le sent pas passer.