Toutes les critiques de Hemel

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Ce premier film nous convie à une étonnante valse des corps qui débouche sur une étude de caractère assez douloureuse. Malgré une réalisation diversement inspirée, l’ensemble séduit par ses quelques audaces d’écriture.

  2. Les Fiches du cinéma
    par Cyrille Latour

    Portrait fragmenté d'une femme-enfant en quête d'elle-même, ce premier film, à la fois cru et sensuel, sonne terriblement juste.

  3. Le JDD
    par Alexis Campion

    Ce parcours apparaît sous des dehors réalistes au fil d'une intrigue raisonnée, à la limite moraliste. L'ensemble est pourtant assez finement mené et interprété pour surprendre et, pourquoi pas, nous prendre dans ses filets.

  4. Critikat.com
    par Julien Marsa

    Par la force de l’incarnation et de la direction d’acteurs, Sacha Polak réussit à se sortir des lieux communs et à insuffler une véritable puissance émotionnelle au parcours de cette jeune femme qui se cherche. Sur un terrain aussi casse-gueule, on en connaît certains qui ont fait beaucoup moins bien.

  5. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Une facture propre et clinique qui n’est pas sans élégance. Mais ça reste light.

  6. Le Monde
    par Sandrine Marques

    L'hypersexualité de Hemel sert donc d'alibi à la description d'un Œdipe mal réglé, doublé d'une carence affective aux allures de puits sans fond. C'est, en tout état de cause, un argument trop faible pour faire un film qui puisse prétendre à l'originalité.

  7. Télérama
    par Télérama Télérama

    Ce portrait cru d'une fille d'aujourd'hui aborde le sexe avec frontalité, des considérations pratiques (pubis rasé ou pas?) aux clichés sur la jouissance féminine. Peu convaincant quand il verse dans la psychologie, il séduit par son esthétique, sa façon de coller à la peau des personnages.

  8. Pariscope
    par Arno Gaillard

    "Hemel" est une rencontre avec un homme et une femme formant une forteresse œdipienne face au monde et à la vie.

  9. Les Cahiers du cinéma
    par Clémentine Gallot

    Polak sonde les gains et pertes sociales de l’indépendance sexuelle, à la manière des films de Paul Verhoeven, époque néerlandaise. Jusqu’à la fin où, ayant évité jusque-là toute psychologie et ne faisant aucun cas d’un supposé mystère féminin, le film finit par disperser sa charge érotique dans une interprétation œdipienne trop premier degré.

  10. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    A force de vouloir choquer le chaland, Sasha Pollack finit par lasser.