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Delirium tremens d’1h30, En pays cannibale est une franche réussite à laquelle on pardonne aisément ses impairs étourdis
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Amateurs d'humour noir et grinçant, En Pays Cannibale est ce que l'on pourrait appeler une cuite cinématographique : malgré le trop plein, vous finirez par en redemander.
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Max, un dealer cocaïnomane, pense que sa vie est très intéressante et convainc deux amis de les suivre avec une caméra et un micro pendant deux jours. Heureusement, le spectateur n'est tenu de rester qu'une heure et demie.
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Un hommage aux marginaux de la capitale ? Plutôt une comédie noire frimeuse, où le réalisateur filme avec complaisance ses héros super détraqués se poudrer le nez.
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Interprétation embarrassante (le héros, minet à cheveu sur la langue, a peu de chance de s’imposer comme le Montgomery Clift français), misogynie ahurissante, bavardage philosophique niveau terminale L (la mondialisation, l’individualisme, etc., ces oiseaux de nuit trépanés ont hélas un avis sur tout), la radicalité du clippeur Alexandre Villeret (fils de Jacques) confine au pur désastre.
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Trip criard et égotiste d’une bande de dealers / pseudo-documentaristes dans la capitale, cette première réalisation cache, sous de bonnes intentions, une catastrophique logorrhée à laquelle il manque tout ce qu’on attend : rage, force et humour.
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La violence, la dèche dans les rues de Paris, filmées de la façon la plus nauséabonde qui soit.