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On retrouve toute la magie dans les détails : des surprises inattendues, un casting haut en couleur.
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Un style où ça cogne dur avec un humour graveleux et écervelé.
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Le réalisateur Walter Hill s’est inspiré de la franchise « 48 heures » de A à Z.
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Le charme de cette série B n’est pas à chercher dans son scénario archi-classique, mais dans son côté franc du collier, genre cinéma de papa « qui en a ».
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Pas aussi jusqu’au-boutiste dans sa brutalité qu’un John Rambo, peut-être ; manquant d’un peu plus de distanciation vis-à-vis de sa propre vieille attitude de « bourrin », plus sûrement (le second degré est dans l’air du temps). Cet insuccès n’en reste pas moins regrettable, vu avec quelle intelligence discrète (car moulée dans la rudesse de celui qui se moque de flatter l’intelligence) l’acteur poursuit à travers ce film la mue mesurée de son image.
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Come-back fatigué de Sly dans un embarrassant thriller voué à son culte.
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Ce film marque le retour au cinéma de Walter Hill, après dix ans d'absence. Il se distingue agréablement de la production policière actuelle à Hollywood dans son usage particulier de la violence.
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Sur le plan immoral, le film est crédible.
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Polar de série B le film regorge de de bastons saignantes, d'effets pyrotechniques mastocs et distille quelques répliques marrantes. Mais tout ça sonne un peu trop vintage pour séduire le jeune public.
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« Du plomb dans la tête » ne donne pas un coup de jeune à Stallone, on a l’impression d’être en 1986, cependant pendant 91 minutes, ça fonctionne bien.
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Absurde mais divertissant.
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Des combats redoutablement efficaces, bref du cinéma qui ne veut rien d'autre que vous captiver et vous distraire.
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Testostérone et second degré. Rambo et pas con à la fois.
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De l’adrénaline, un clin d’œil au film des années 80, mais seulement si vous êtes nostalgiques des films d’actions creux.
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Il ne se passe quasiment rien, excepté Mr Stallone qu’on prend toujours plaisir à admirer.
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Glauque et assommant, ce nouveau film de Walter Hill continue à contribuer à son auto-destruction.
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Dans ce buddy movie ultraviolent emballé avec métier par Walter Hill (« 48 Heures »), mais handicapé par un script lambda, l’acteur joue un tueur à gages de La Nouvelle-Orléans contraint de faire équipe avec un flic d’origine asiatique. Ce dernier n’est qu’un faire-valoir pour Stallone qui, à 66 ans et sans une once de second degré, totalement pris au piège de sa propre image, semble ne pas s’être aperçu que nous ne sommes plus en 1986. Bref, rien à signaler, à part un intéressant combat final… à la hache.
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On espérait mieux et plus de la rencontre entre les vétérans Walter Hill et Sylvester Stallone. Loin de reproduire les étincelles du passé entre James Mangold et Sly (Copland), cette série B se révèle hélas terriblement has-been, multipliant les effets pyrotechniques pour masquer sa vertigineuse vacuité.
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On en attendait un peu plus de Walter Hill qui, cela dit, n’a jamais fait mieux que 48 heures en 1982 avec Eddie Murphy et Nick Nolte. Le cinéaste se complique la vie et le tandem Stallone/Sung Kang (habitué aux navets) ne rattrape pas le coup. Leurs vannes tombent à plat et les bastons se dégonflent. Rocky ou Rambo, c’est fini. Avec Du plomb dans la tête, Stallone a définitivement du plomb dans l’aile.
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Dans ce polar à la mode 90's, un tueur et un flic s'associent pour une vengeance commune. En prenant trop la pose du bon faiseur à la cool, efficace et peu soucieux de réinventer quoi que ce soit, Walter Hill laisse doucement son film glisser dans l'insipide.
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Pas de doute, ce n'est pas une comédie romantique ! Avec un Sly sexagénaire, en caricature touchante de sa marionnette.
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Une série B calibrée, aux dialogues kitschissimes, qui remplit son cahier des charges côté baston et fusillades.
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C'est tellement idiot, crétin et ennuyeux que ça fait peur.
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Une série de scène de bagarres qui n’en finit pas, un climat étrangement insatisfaisant.
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Un tueur à gages (Stallone) et un flic sont contraints de faire équipe... Walter Hill n'a jamais été réputé pour faire dans la dentelle, mais la brutalité de son cinéma avait parfois du bon. Rien de tel dans ce " buddy-movie", caricature du film musclé, à l'intrigue grossière et à l'humour limité.
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Aucun cliché n'a été oublié par les scénaristes de ce film. (...) Sylvester Stallone fait le show mais laisse froid.
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Un film qui se veut très macho mais tellement peu crédible, on se sent presque désolé pour le réalisateur, enfin presque.
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On se tire une balle dans la tête avant la fin.