-
Mêlant avec plus ou moins de réussite l'intrigue psychologique et le film d'horreur, Dream House fonctionne comme un voyage initiatique jusqu'aux confins de la folie. Ici, la réalité n'est pas ce qu'elle prétend être et les rêves se transforment en cauchemars.
-
Jim Sheridan ose le thriller psychologique, moitié film de fantôme, moitié tragédie mentale. Malgré quelques belles illuminations, Dream House goûte un peu trop au fruit défendu du renversement de situation. Un poison fatal.
-
Un éditeur new-yorkais emménage avec femme et enfants dans un pavillon de banlieue qu’il soupçonne hanté. De Jim Sheridan ("Au nom du père", "In America"), on était en droit d’attendre mieux que cette série Z de luxe dont les aberrations de scénario le disputent à une mise en scène qui s’effondre dès la première incursion fantastique. Invoqué tout du long, Hitchcock doit se retourner en vrille dans sa tombe.
-
Dream House est déterminé par la construction d'un scénario "à trucs" qui, pour tenir vaguement debout (il n'y parvient pas), imagine d'absurdes et maladroites situations.
-
Dream House ne se pose pas de questions, conduit son histoire (...), en pilotage automatique, sans jamais jouer avec son spectateur qui en a malheureusement vu d'autres.
-
Un thriller par le réalisateur d’Au nom du père, hanté par le rebondissement prévisible et grotesque.