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(...) quand Olga Kurylenko pulvérise gaiement ce qui reste du casting avec une rage herculéenne, on oublie soudainement que Code Momentum est un produit sans grand caractère, pour se rêver un destin de figurant à l’accent outré, aux grosses cicatrices et aux tatouages bizarres, histoire qu’elle nous accorde une petite châtaigne (...)