Grand moment d’émotion pour Jean Reno dans La Parenthèse inattendue, diffusé mercredi 2 avril sur France 2.
Dans La Parenthèse inattendue, Frédéric Lopez s’est fait une spécialité d’écouter les confessions des invités qu’il reçoit loin de tout, à la campagne. Et d’éponger les larmes. Cette semaine n’a pas fait exception. Cette fois, c’est Jean Reno, pas connu pour sa sensibilité à fleur de peau, qui a craqué.Si dans un premier extrait dévoilé par la chaîne, on voyait l’acteur évoquer avec émotion sa vie d’après Le Grand bleu, c’est au moment de parler de son père que l’émotion l’a submergé. A 65 ans, Jean Reno, à l’affiche d’Avis de Mistral, raconte des souvenirs de son enfance, à Casablanca.Jean Reno explique notamment avoir eu du mal à imposer son choix de devenir acteur à ses parents, et son père en particulier. Sentant les larmes monter, il s’interrompt un instant. "Ca me coûte hein… Ca me coûte de revisiter mon père parce qu’il me manque."Autour de lui, Frédéric Lopez et les autres invités gardent le silence, émus. Mais très vite, Jean Reno se ressaisit. "Merde, on a pris une mauvaise route" dit-il, des larmes dans la voix. "C’est évident que ma mère et mon père me manquent et qu’ils me manqueront toute ma vie" conclue-t-il.
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