C’est une surprise à laquelle ne s’attendait pas forcément Béatrice Brouteland, une mère de famille vivant à Ressons-l'Abbaye dans l’Oise. Dans Le Courrier Picard, cette ancienne participante à l’émission de déco de M6 a confié que ses impôts fonciers et sa taxe d’équipement avaient augmenté après le passage de Valérie Damidot.
La vie de Béatrice Brouteland a changé il y a deux ans grâce à une émission télévisée D&Co. Cette mère de neuf enfants a en effet fait appel à Valérie Damidot et son équipe pour transformer sa maison après avoir été escroquée par un entrepreneur véreux. Dans une émission, diffusée le 21 septembre 2011, cette famille de Ressons-l’Abbaye a vu son intérieur métamorphosé grâce notamment à la transformation du garage en partie habitable, à l’ajout de plusieurs salles de bain ou encore à l’arrivée dans la maison d’un jacuzzi.Mais le relooking de la maison n’a pas été le seul changement auquel a du faire face la famille. Interrogée par Le Courrier Picard, Béatrice Brouteland a en effet confié que le passage de l’émission avait eu des conséquences financières inattendues notamment au niveau des impôts. La famille a ainsi dû payer "2 500 euros à payer sur deux ans, en deux fois" et la taxe locale d’équipement pour les 80 mètres carrés gagnés en transformant le garage.Si la famille ne paie pas d’impôts locaux pour causes de revenus modestes, elle devrait prochainement voir ses impôts fonciers augmenter car la fin de l’exonération fiscale accordée pendant deux ans en cas de construction nouvelle est sur le point de prendre fin. Le budget assurance et électricité de la maison a également augmenté. Comme le confie la mère de famille au journal local, l’assurance de la maison a été augmentée de "5 euros par mois" et la facture d’électricité serait désormais de 200 euros par mois.Après une panne de la machine à laver rapidement remplacée grâce aux garanties gardées par la production de l’émission, la famille doit maintenant faire face à une panne de jacuzzi : "Quand nous l’avons vidangé pour l’hiver, de l’eau a stagné dans un des conduits. Une pièce a éclaté. C’est notre faute. On s’est renseignés en région parisienne, la pièce ne serait plus fabriquée. Nous devrons aller voir un autre vendeur. Nous n’avons pas eu le temps de le faire."Malgré ces désagréments, Béatrice et Gérard son compagnon, n’envisagent pas de vendre leur habitation. Mieux, ils affirment ne pas regretter d'avoir fait appel à l'équipe de Valérie Damidot.
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