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PHOTOS - Qui es-tu Clara Ponsot ?

Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

La sexy Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

La ravissante Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

La pétillante Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

La jolie Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

Clara Ponsot, lors de l'avant-première de "Bye Bye Blondie", à Paris, le 19 mars 2012

La très belle Clara Ponsot

Clara Ponsot et Gilles Lellouche dans "Les Infidèles"

Clara Ponsot dans "Le Silence de l'épervier"

<strong>Brune incendiaire au regard bleu acier</strong>, la ravissante <strong>Clara Ponsot</strong> est <strong>la nouvelle bombe du cinéma français</strong>. Mais d'où viens-tu, <strong>Clara Ponsot</strong> ? La belle Clara n'est pas née lundi soir, sur le tapis rouge de l'avant-première de Bye Bye Blondie, durant lequel, aux côtés d'<strong>Emmanuelle Béart</strong> et <strong>Virginie Despentes</strong>, l'un de ses seins nous a généreusement salués. Non, non... Clara est née bien avant cela, il y a une vingtaine d'années, à Paris, où elle a grandi des étoiles plein les yeux. Très rapidement, elle se découvre <strong>une passion pour la comédie</strong> et son avenir s'écrit alors comme un scénario, guidée par cette vocation qui ne la lâchera plus. En qualité d'études, <strong>elle se forme au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique</strong> et commence à tourner dès la porte de l'école franchie. Ainsi, en 2006, nous la découvrons sur le petit écran dans de célèbres feuilletons comme <em>Madame le Proviseur</em>, <em>Commissaire Moulin</em> ou <em>Avocats et Associés</em>. Suivront quelques téléfilms (<em>Le Silence de l'épervier</em>, <em>Panique</em>...) avant que <strong>le cinéma ne lui fasse finalement les yeux doux</strong> et qu'elle démarre dans les salles obscures avec La Possibilité d'une île (aux côtés de Benoît Magimel et <strong>Arielle Dombasle</strong>), le film - irregardable - du génial auteur <strong>Michel Houellebecq</strong>. Nous sommes alors en 2008, et <strong>Clara fait déjà preuve d'un charisme fou</strong>, agrémenté d'un naturel à couper le souffle. Par la suite, on la remarquera (quoi de plus normal ?) avec quelques petits rôles dans des films comme <em>La Grande Vie</em> d'<strong>Emmanuel Salinger</strong> (2009), <em>Complices</em> de Frédéric Mermoud (2009), Bus Palladium de <strong>Christopher Thompson</strong> (2010) et Poupoupidou de Gérald Hustache-Mathieu (2011), dans lequel elle donne la réplique à <strong>Jean-Paul Rouve</strong> et <strong>Sophie Quinton</strong>. Mais c'est bien en ce début d'année que <strong>la jeune et sexy Clara explose littéralement sur grand écran</strong>. Tout d'abord dans le film Les Infidèles (dans le segment intitulé <em>Lolita </em>et réalisé par <strong>Eric Lartigau</strong>), dans lequel elle incarne la jeune Ines, 19 ans, jeune femme fraîche et fascinante, au charme fou, qui fait perdre la boule à <strong>Gilles Lellouche</strong>. Puis, dans <em>Bye Bye Blondie</em> de <strong>Virginie Despentes</strong> (dans les salles depuis le 21 mars), où elle incarne <strong>Emmanuelle Béart</strong> adolescente, pour un rôle aussi sulfureux qu'évanescent. Avec un talent, un charisme et un tempérament comme le sien, inutile de vous dire que nous ne sommes pas prêts d'arrêter d'en entendre parler... ?

Clara Ponsot et Soko dans "Bye Bye Blondie"

Brune incendiaire au regard bleu acier, la ravissante Clara Ponsot est la nouvelle bombe du cinéma français. Mais d'où viens-tu, Clara Ponsot ?La belle Clara n'est pas née lundi soir, sur le tapis rouge de l'avant-première de Bye Bye Blondie, durant lequel, aux côtés d'Emmanuelle Béart et Virginie Despentes, l'un de ses seins nous a généreusement salués. Non, non... Clara est née bien avant cela, il y a une vingtaine d'années, à Paris, où elle a grandi des étoiles plein les yeux.Très rapidement, elle se découvre une passion pour la comédie et son avenir s'écrit alors comme un scénario, guidée par cette vocation qui ne la lâchera plus. En qualité d'études, elle se forme au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique et commence à tourner dès la porte de l'école franchie.Ainsi, en 2006, nous la découvrons sur le petit écran dans de célèbres feuilletons comme Madame le Proviseur, Commissaire Moulin ou Avocats et Associés. Suivront quelques téléfilms (Le Silence de l'épervier, Panique...) avant que le cinéma ne lui fasse finalement les yeux doux et qu'elle démarre dans les salles obscures avec La Possibilité d'une île (aux côtés de Benoît Magimel et Arielle Dombasle), le film - irregardable - du génial auteur Michel Houellebecq. Nous sommes alors en 2008, et Clara fait déjà preuve d'un charisme fou, agrémenté d'un naturel à couper le souffle.Par la suite, on la remarquera (quoi de plus normal ?) avec quelques petits rôles dans des films comme La Grande Vie d'Emmanuel Salinger (2009), Complices de Frédéric Mermoud (2009), Bus Palladium de Christopher Thompson (2010) et Poupoupidou de Gérald Hustache-Mathieu (2011), dans lequel elle donne la réplique à Jean-Paul Rouve et Sophie Quinton.Mais c'est bien en ce début d'année que la jeune et sexy Clara explose littéralement sur grand écran. Tout d'abord dans le film Les Infidèles (dans le segment intitulé Lolita et réalisé par Eric Lartigau), dans lequel elle incarne la jeune Ines, 19 ans, jeune femme fraîche et fascinante, au charme fou, qui fait perdre la boule à Gilles Lellouche. Puis, dans Bye Bye Blondie de Virginie Despentes (dans les salles depuis le 21 mars), où elle incarne Emmanuelle Béart adolescente, pour un rôle aussi sulfureux qu'évanescent.Avec un talent, un charisme et un tempérament comme le sien, inutile de vous dire que nous ne sommes pas prêts d'arrêter d'en entendre parler...