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PHOTOS - Angelina Jolie passe le 11 septembre avec des réfugiés syriens

Angelina Jolie rencontre 200 nouveaux réfugiés politiques syriens arrivés dans un camp installé près de Mafraq, à la frontière jordanienne, le 11 septembre 2012

Angelina Jolie rencontre 200 nouveaux réfugiés politiques syriens arrivés dans un camp installé près de Mafraq, à la frontière jordanienne, le 11 septembre 2012

Onze ans après les attentats du 11 septembre 2001, l?actrice <strong>Angelina Jolie est repartie en mission pour l?ONU et </strong><strong>cette fois dans un tout nouveau rôle, celui d?envoyée spéciale auprès du Haut commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés</strong>. Impliquée depuis dix ans dans cette cause, elle a obtenu une "promotion" au printemps dernier. La fiancée de Brad Pitt a quitté le temps d?une nuit le tournage à Londres de&nbsp;Maleficent pour<strong>&nbsp;rencontrer les 200 nouveaux réfugiés politiques syriens d?un camp installé près de Mafraq, à la frontière jordanienne</strong>. Actuellement, ils sont près de 85&nbsp;200 personnes à avoir rejoint la Jordanie pour fuir les combats qui sévissent depuis mars 2011 contre le régime de Bachar al-Assad. En tout, 250&nbsp;000 réfugiés ont quitté le pays. Un vrai fléau que tentent de pointer du doigt Angelina Jolie et le chef du HCR, Antonio Guterres. Soutenus dans leur action par le ministre des affaires étrangères de Jordanie, Nasser Judeh, ils devront également rencontrer dans l?après-midi le roi de Jordanie, Abdullah II Ibn Al-Hussein ainsi que le premier ministre, Fayez Tarawneh. Après avoir parlé à des femmes syriennes puis fait le tour du camp mis en place par l?ONU, <strong>Angelina Jolie a confié à l?<em>Associated Press</em>, les larmes aux yeux, quelques-unes des histoires<em>&nbsp;"horribles"</em> et<em>&nbsp;"déchirantes"</em> qui lui ont été racontées par ces gens</strong>. <em>"Je me sens vraiment concernée. Le monde est vraiment concerné (par leur situation)"</em>, a clamé l?actrice de 37 ans.<em>&nbsp;"Le pire c?est quand ces Syriens nous demandent pourquoi personne n?est en mesure de leur trouver une solution. "</em>

Angelina Jolie, envoyée spéciale de l'UNHCR, rencontre avec son chef Antonio Guterres le ministre des affaires étrangères jordanien Nasser Judeh à Amman en Jordanie le 11 septembre 2012

Onze ans après les attentats du 11 septembre 2001, l’actrice Angelina Jolie est repartie en mission pour l’ONU et cette fois dans un tout nouveau rôle, celui d’envoyée spéciale auprès du Haut commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés. Impliquée depuis dix ans dans cette cause, elle a obtenu une "promotion" au printemps dernier.La fiancée de Brad Pitt a quitté le temps d’une nuit le tournage à Londres de Maleficent pour rencontrer les 200 nouveaux réfugiés politiques syriens d’un camp installé près de Mafraq, à la frontière jordanienne. Actuellement, ils sont près de 85 200 personnes à avoir rejoint la Jordanie pour fuir les combats qui sévissent depuis mars 2011 contre le régime de Bachar al-Assad. En tout, 250 000 réfugiés ont quitté le pays. Un vrai fléau que tentent de pointer du doigt Angelina Jolie et le chef du HCR, Antonio Guterres.Soutenus dans leur action par le ministre des affaires étrangères de Jordanie, Nasser Judeh, ils devront également rencontrer dans l’après-midi le roi de Jordanie, Abdullah II Ibn Al-Hussein ainsi que le premier ministre, Fayez Tarawneh.Après avoir parlé à des femmes syriennes puis fait le tour du camp mis en place par l’ONU, Angelina Jolie a confié à l’Associated Press, les larmes aux yeux, quelques-unes des histoires "horribles" et "déchirantes" qui lui ont été racontées par ces gens. "Je me sens vraiment concernée. Le monde est vraiment concerné (par leur situation)", a clamé l’actrice de 37 ans. "Le pire c’est quand ces Syriens nous demandent pourquoi personne n’est en mesure de leur trouver une solution. "