Fille d'ancien Premier ministre, mannequin, égérie Givenchy, musicienne, chanteuse et actrice, la ravissante, grande et sculpturale Marie de Villepin n'a pas perdu de temps pour dresser un CV d'artiste polyvalente à la beauté solaire, et tout cela, à moins de 30 ans.Exilée aux États-Unis depuis des années où elle mène une vie mi-bohème mi-hippie - comprendre "en communauté" -, le magazine Lui a fait appel à elle pour illustrer la couverture de son numéro estival, et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'on adhère clairement à cette idée.Shootée par Cédric Buchet sur les bords de l'Hudson, non loin de sa ville de New York et de son quartier de Manhattan, la jolie blonde de 29 ans affiche sa plastique irréprochable et découvre en une du mensuel masculin un sein qui rend tout chose tout en grattant une Fender 1967 - dont on doute cependant qu'elle soit branchée.Si la jeune femme se dévoile encore plus dans une série de clichés alléchants dans les pages du magazine, elle prouve aussi qu'elle n'a pas la langue dans sa poche en se prêtant au jeu de l'interview sans langue de bois.Ainsi, concernant le fait de se dénuder, Marie confie : "Si j'ai accepté de poser, c'est parce que votre magazine s'inscrit dans une certaine veine française : Brigitte Bardot à La Madrague, Françoise Hardy dans l’œuf de Dali... Vous ne m'avez pas non plus proposer de poser au Sofitel dans la suite de l'affaire DSK ! (...) Bref, je suis une grande fille et ça ne me pose aucun problème de montrer mes seins et mes fesses."Si la jeune femme est d'abord considérée comme une actrice - La Bûche, Les Rois Maudits, Yves Saint Laurent -, elle se sent avant tout artiste et surtout passionnée par la musique - elle écrit et chante au sein du groupe Pinkmist : "Je me sens punk. Je suis une grande fan de Nine Inch Nails, de Pearl Jam, de Kurt Cobain, de Courtney Love aussi. (...) Mes textes parlent de tout. Et j'écris en anglais. Je pense que le français m'intimide parce que mon père manie le verbe de façon tellement impressionnante, et quand j'étais petite, il nous racontait des histoires de manière tellement riche. La première chanson que j'ai écrite s'appelait "Lilac", comme la fleur, je pense que c'était un hommage caché à "Lilac Wine" de Jeff Buckley. En fait j'ai toujours écrit en anglais. (...) Par contre, je baise en français, mais je baise américain."Enfin, concernant sa ville d'adoption, New York : "Quand je suis arrivée à New York, j'ai découvert un monde complètement différent, que je ne connaissais pas. J'ai rencontré ma meilleure amie, Rie Rasmussen qui, à l'époque, allait faire le film avec Besson, Angel-A. Dans le New York que j'ai connu, tout le monde dormait chez les uns chez les autres, et j'ai noué des liens très forts. Aujourd'hui, il y a une scène très créative, et une vraie communauté d'artistes. Et j'ai de la chance parce qu'à New York, c'est cool d'être française."Pour découvrir l'intégralité de l'interview et les clichés dénudés de Marie de Villepin, rendez-vous dans le nouveau numéro de Lui, actuellement en kiosques.
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- Marie de Villepin nue dans Lui : "Je baise en français"
Marie de Villepin nue dans Lui : "Je baise en français"
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