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Léa Seydoux, un ange noir et divin en mode soubrette

Hier soir, dans le cadre du MK2 Bibliothèque, dans l'est parisien, s'est tenue l'avant-première du très attendu Journal d'une femme de chambre, nouvelle adaptation du roman de Octave Mirbeau, signée Benoît Jacquot.A cette occasion, le cinéaste français a retrouvé la sublime Léa Seydoux, quatre ans après Les Adieux à la Reine qui avait marqué leur première collaboration.Totalement sur orbite depuis ses récents succès - La Vie d'Adèle, The Grand Budapest Hotel, et bientôt Spectre, le prochain James Bond dont elle incarne l'atout charme -, la magnifique actrice de 29 ans - qui a récemment révélé avoir trouvé l'amour - a particulièrement brillé lors de cet événement très couru hier soir dans la capitale.Scandaleusement divine dans une robe noire et courte soulignant sa ravissante silhouette et lui donnant tout d'un ange sombre, la jolie blonde - qui a récemment avoué être fascinée par "les gros seins d'Eva Green", sa James Bond Girl préférée - a été l’attraction principale de cette avant-première, portant haut les couleurs de la séduction à la française. L'histoire de Journal d'une femme de chambre : Début du XXème siècle, en province. Très courtisée pour sa beauté, Célestine est une jeune femme de chambre nouvellement arrivée de Paris au service de la famille Lanlaire. Repoussant les avances de Monsieur, Célestine doit également faire face à la très stricte Madame Lanlaire qui régit la maison d’une main de fer. Elle y fait la rencontre de Joseph, l’énigmatique jardinier de la propriété, pour lequel elle éprouve une véritable fascination.La bande-annonce de Journal d'une femme de chambre, en salles le 1er avril :