A l’affiche du nouveau film de Jeanne Herry, l’acteur revient dans Le Figaro sur sa dernière collaboration avec son ami Guillaume Canet.
Après trois films en 2022 (Goliath, Kompromat et Fumer fait tousser), Gilles Lellouche enchaîne sur le même rythme soutenu en 2023. Avant Daaaaaali !, le nouveau Quentin Dupieux, il retrouve cette semaine Jeanne Herry (Pupilles) pour son nouveau long-métrage, Je verrai toujours vos visages, quelques semaines après la sortie d’Astérix et Obélix : L’Empire du milieu. Et, à l’occasion d’une interview accordée au Figaro, l’acteur est revenu sur les critiques qui ont accompagné le film de Guillaume Canet. Un rôle qu’il avait hésité à accepter…
"Oui, ça n'a pas été simple. Guillaume est un ami de très longue date. Quand je l'ai vu partir dans cette aventure, j'ai été fidèle. Je ne regrette absolument pas. La véhémence des gens sur le film m'a beaucoup étonné. Tous les films sont attaquables et j'entends les raisons pour lesquelles le film ne plaît pas. Mais les attaques personnelles sur un film familial, qui n'a rien d'un brûlot, qui n'a pas d'autre prétention que divertir le plus grand nombre, je ne les comprends pas. La violence de l'accueil qu'il a reçu m'a semblé inouïe. C'est un peu le drame de l'époque."
Toujours dans les colonnes du Figaro, Gilles Lellouche raconte son admiration pour la réalisatrice Jeanne Herry, qui l’avait déjà dirigé dans Pupilles. Il raconte même avoir accepté de tourner dans son nouveau film "sans lire le scénario" ! "J'ai rencontré Jeanne Herry quand je préparais Le Grand Bain (…) Elle écrivait Pupille à l'étage du dessus. (…) Elle a été bercée par ma voix et m'a proposé de jouer dans Pupille. J'ai tellement adoré l'expérience, j'aime tellement cette femme et ce qu'elle raconte que j'y suis allé à l'aveugle sur Je verrai toujours vos visages".
Je verrai toujours vos visages : la nouvelle réussite de la réalisatrice de Pupille [critique]
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