Après les 20 ans de Friends, les 10 ans de Lost et de Desperate Housewives, une autre série culte fête son anniversaire ces temps-ci : Dr House, elle aussi maintenant vieille d'une décennie. La série de David Shore, derrière la figure acariâtre et brillante de Gregory House (Hugh Laurie) a connu le succès non seulement sur la personnalité haute en couleurs et torturée de son héros mais aussi sur la dynamique de ses épisodes, à mi-chemin entre série médicale et policière, notamment grâce à ses pré-génériques efficaces, suivis d'un des plus beaux génériques de séries qui soient au son de l'envoûtant Teardrop de Massive Attack.
Véritable Sherlock Holmes en blouse blanche, House a été confronté au cours des huit saisons de la série de la FOX à tous les types de patients, de ceux qu'il essayait désespérément d'éviter en consultations à ceux pour qui il était prêt à tout pour résoudre l'énigme qu'ils proposaient. Tantôt comiques, tragiques, importants ou même intimes, les patients du Dr House ont autant contribué à la longévité de la série que celui qui les a soigné.
Tout l'art de la formule gagnante de Dr House pouvait être résumé dans ses pré-génériques, modèles d'efficacité dont l'importance dans l'épisode transcendait régulièrement son fonction de simple exposition. Voici comment en dix points comment Dr House a élevé le pré-générique au rang d'art.Julien Lada
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