Quel massacre ! Attendu avec une grosse impatience par les fans de Goku et ses amis, la nouvelle série Dragon Ball Super est pour le moment une énorme déception. Si l'histoire (qui reprend pour l'instant celle du film Battle of Gods) n'a rien de transcendante, ce sont surtout les dessins qui font hurler la toile depuis quelques jours.En effet, les premiers épisodes ont bénéficié d'une animation réussie, mais la qualité s'est dégradée de manière spectaculaire, à partir de l'épisode 4, pour toucher fond lors d'un combat atroce entre Goku et Beerus, dans l'épisode 5, au cours duquel on peinait carrément à reconnaître le Super-Sayian (voir photos).>>> Dragon Ball Super : les 13 choses essentielles à retenir du premier épisodeAnimation honteuse, dessins bâclés et même de grossières erreurs visuelles (une scène où Vegeta apparaît avec deux mains gauches a fait hurler de rire toute la toile) : que se passe-t-il chez Toei Animation pour que Dragon Ball Super soit un tel raté esthétique ?L'explication est bêtement économique, selon la plupart des sites spécialisés. L'évolution de l'industrie de l'animé nippon tend vers une qualité moindre, car le rythme de production imposé par les studios japonais est trop élevé pour les dessinateurs. Pour Dragon Ball Super, ils doivent réaliser un épisode de 20 minutes par semaine, pour des salaires souvent très faibles. #LT J'ai envoyé mon CV pour la saison 2 de #DragonBallSuper... j'ai mes chances ? pic.twitter.com/igqQihh9Kt— Poufy - Gameblog.fr (@PoufyGB) 9 Août 2015Ainsi, des fans Français ont lancé une pétition ces derniers jours, pour que Toei Animation se décide à mettre plus de moyens sur Dragon Ball Super : "L'objectif de cette pétition n'est pas d'offenser la Toei Animation, mais d'encourager ses responsables à mettre en oeuvre les moyens nécessaires pour que la qualité de Dragon Ball Super soit digne de ce titre".Sinon, il ne reste plus qu'à attendre la sortie en Blu-Ray. Les Studios nippons ont en effet l'habitude de retravailler les images, afin de booster les ventes vidéos.
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