Adriana Karembeu : "Je n'ai jamais trompé mon mari mais nous sommes séparés depuis plusieurs mois. C'est moi qui suis partie."

Adriana et Christian Karembeu c'est bel et bien fini. La nouvelle de la rupture a été officialisée par le footballeur hier suite à la découverte de l'interview accordée par Adriana au magazine Paris-Match qui sort aujourd'hui. Adriana, compagne de Christian depuis quinze ans, revient sur les circonstances de cette triste séparation. Depuis leur rencontre en 1996 dans un avion, coup de foudre que tous deux ont maintes fois raconté, Adriana et Christian Karembeu semblaient inséparables. Le mannequin et le footballeur, un cliché qui ne s'effritait pas chez les Karembeu. Pourtant hier, sur RTL, invité pour la sortie de son livre, Christian Karembeu doit faire face à la nouvelle de l'interview de sa femme dans Paris-Match et déclare en direct : "Adriana annonce notre séparation". Dans le magazine sorti en kiosques ce matin, la blonde à la plastique parfaite explique pourquoi, à 39 ans et au bout de quinze ans de relation dont douze de mariage, elle a décidé de quitter l'homme de sa vie."Nous avons toujours été un couple très médiatique, très exposé et, depuis quelques semaines, je suis énervée de voir dans la presse des photos de moi avec d'autres hommes, présentés comme de supposés amoureux. La vérité est que je n'ai jamais trompé mon mari, mais que Christian et moi sommes séparés depuis plusieurs mois. C'est moi qui suis partie", explique Adriana dans les colonnes de Paris-Match, en précisant, quant à elle, avoir prévenu Christian : "Quand je lui ai téléphoné pour lui annoncer que je vous accordais cet entretien, il a paru soulagé."L'ambassadrice de charme de la Croix Rouge explique la rupture : "Je ne supportais plus l'existence que nous menions. Quand mon mari a arrêté de jouer, il s'est mis à vivre à 300 à l'heure, et je n'arrivais pas à suivre. On s'est perdus sans le faire exprès (...) Nous n'avions plus de vie de couple." Adriana précise toutefois tout l'amour qu'elle a eu et a encore pour son mari avec des expressions très fortes : "Du jour où je l'ai rencontré j'ai été raide dingue de lui (...) A mes yeux rien n'était plus important que lui (...) Peu m'importait de ne pas me rendre aux castings. Je n'avais que lui au monde, je ne souhaitais rien d'autre, même si je passais mes week-ends seule quand il était avec son équipe.""Toute ma vie tournait autour de lui", poursuit la top d'origine slovaque. "Notre couple était tellement fusionnel que, sans m'en rendre compte, je ne voyais plus mes amis ni ma famille. En ce sens, je suis peut-être fautive de n'avoir pas réalisé que l'amour se nourrit aussi des autres (...) Christian, c'est mon sang, c'est ma famille. J'aurai toujours envie de veiller sur lui, tout comme j'éprouverai toujours des sentiments à son égard. Je suis véritablement née en 1996, l'année où je l'ai rencontré sur le vol Milan-Paris."Adriana Karembeu, qu'il faudra peut-être désormais appeler avec difficulté Adriana Sklenaríková, tient à être transparente dans cet entretien à Paris-Match et précise donc : "De mon côté il n'y a eu personne d'autre. Du sien, je ne sais pas. Ce que je sais, c'est que j'étais constamment seule et que, pour retrouver l'illusion d'un foyer, j'allais me réfugier en Slovaquie, là où vit ma mère que j'adore..."Au sujet de l'absence d'enfant dans leur couple, Adriana s'explique aussi : "C'est moi qui ne voulais pas", et d'expliquer les traumatismes d'enfance qui l'empêchent de vouloir à son tour mettre au monde un enfant. Quant à l'avenir, malgré la tristesse, Adriana reste optimiste : "Le plus dur, depuis notre séparation, est de gérer la blessure. Il m'arrive d'être submergée par les souvenirs. Pourtant, la vérité c'est que mon mari ne me rendait plus heureuse. (...) J'essaie de prendre un nouveau départ, de me reconstituer un réseau d'amis et d'accorder plus d'attention à tous ceux que j'aime et qui m'aiment...(...) C'est comme si pour la première fois je me tenais seule sur mes deux jambes en réalisant que , finalement, j'arrive à marcher toute seule", conclut joliment la jeune femme qui reste encore à ce jour le fantasme de tous les hommes. Parions qu'ils seront nombreux à vouloir l'aider à "retrouver le bonheur" !