Après les carnages Lindsay Lohan, Mary-Kate Olsen et consorts, la chirurgie esthétique (qui n'a d'esthétique que le nom) continue de faire des ravages chez les jeunes actrices hollywoodiennes. Nouvel exemple en date : Rose McGowan.La comédienne américaine que l'on a connue blonde, brune et rousse, nous revient effectivement méconnaissable.Il semble très loin le temps où l'on découvrait une jeune rousse sexy à la poitrine généreuse, tellement généreuse qu'à cause de ses formes, elle restait coincée dans la chatière de la porte du garage et se retrouvait à la merci du serial killer de Scream. Nous étions alors en 1996, devant le premier film de la franchise à succès de Wes Craven, et si tout le monde parlait de la "découverte" Neve Campbell, il faut bien avouer que nous, nous restions scotchés par la présence de Rose...Quinze ans après, le temps a fait son œuvre (ou pas), et la chirurgie a fait le reste.Si on pouvait encore admirer et se sentir émoustillés à la vision de la comédienne de 38 ans dans des films comme Nowhere, Le Dahlia Noir, Boulevard de la Mort ou Planète Terreur (et sa fameuse prothèse-mitraillette), nous sommes tombés de haut en la découvrant ce week-end sur le tapis rouge des 26e Genesis Awards, qui se sont tenus au Beverly Hilton Hotel de Beverly Hills, à Los Angeles.En effet, à l'occasion de cet événement récompensant des artistes impliqués dans la défense et la protection des animaux, Rose était... méconnaissable : le front botoxé de Nicole Kidman puissance dix, les lèvres bourrées de collagène comme Emmanuelle Béart en pire, le lifting raté à la Priscilla Presley... De quoi traumatiser ses fans les plus soumis.Pour couronner le tout, elle arborait une robe vulgaire, ambiance "enroulée dans du papier aluminium et prête à être mise au four".Pas glam pour un sou...Rose McGowan, ou la fin d'une certaine idée du fantasme adolescent...
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