Toutes les critiques de A l'ombre de l'abbaye de Clairvaux

Les critiques de Première

  1. Première
    par Lucie Chiquer

     Et si les moines et les détenus avaient plus de points en commun qu’il n’y paraît ? Les similitudes sont frappantes : même isolement, même vie communautaire, et même logis, puisque de nombreuses abbayes sont devenues des prisons. C’est le cas de la Maison centrale de Clairvaux, dans laquelle Eric Lebel s’aventure avec ce parallèle innovant en tête. Ni glorifié, ni diabolisé, le milieu carcéral est ici humanisé par les témoignages de deux détenus, Michel et Pierre-Jean, touchants de sincérité.