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Passé une certaine déception concernant les graphismes et les dialogues, qui restent assez enfantins, la magie opère dès que le duo musical Matthieu Chedid-Vanessa Paradis prend le dessus. Cette partie « comédie musicale » constitue la force de ce conte qui mêle la mythologie de King Kong et le charme rétro des Triplettes de Belleville. Deux personnages se démarquent : le monstre Francœur, génialement animé et muet (sauf lorsqu’il chante – une jolie pirouette), ainsi que le préfet, caricatural et jouissif. Les seuls regrets concernent le personnage de Lucille, en demi-teinte, et les sublimes concept arts du générique de fin, restés malheureusement au stade préparatoire.
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Passé une certaine déception concernant les graphismes et les dialogues, qui restent assez enfantins, la magie opère dès que le duo musical Matthieu Chedid-Vanessa Paradis prend le dessus. Cette partie « comédie musicale » constitue la force de ce conte qui mêle la mythologie de King Kong et le charme rétro des Triplettes de Belleville. Deux personnages se démarquent : le monstre Francœur, génialement animé et muet (sauf lorsqu’il chante – une jolie pirouette), ainsi que le préfet, caricatural et jouissif. Les seuls regrets concernent le personnage de Lucille, en demi-teinte, et les sublimes concept arts du générique de fin, restés malheureusement au stade préparatoire.
Toutes les critiques de Un monstre à Paris
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Les chansons et la musique composées par -M- sont un pur moment de poésie. Ciselées sur un mode intemporel, elles apportent un supplément d'âme et de magie.
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Les chansons et la musique composées par -M- sont un pur moment de poésie. Ciselées sur un mode intemporel, elles apportent un supplément d'âme et de magie.
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Né d’une accidentelle manipulation chimique, un monstre craintif et sensible terrorise la capitale, défie un préfet corrompu et séduit une chanteuse de cabaret. Un hommage féerique à Feuillade et Méliès, débordant de trouvailles visuelles, d’humour et de poésie. Le Paris de 1910, réinventé avec talent, offre un cadre idéal à cette course-poursuite musicale, portée par les compositions inspirées de Mathieu Chédid. Seule la séquence finale, moins grandiose qu’elle n’aurait pu (et dû) l’être, ternit légèrement l’enchantement éprouvé.
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Né d’une accidentelle manipulation chimique, un monstre craintif et sensible terrorise la capitale, défie un préfet corrompu et séduit une chanteuse de cabaret. Un hommage féerique à Feuillade et Méliès, débordant de trouvailles visuelles, d’humour et de poésie. Le Paris de 1910, réinventé avec talent, offre un cadre idéal à cette course-poursuite musicale, portée par les compositions inspirées de Mathieu Chédid. Seule la séquence finale, moins grandiose qu’elle n’aurait pu (et dû) l’être, ternit légèrement l’enchantement éprouvé.
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Pittoresque et sympathique, ce divertissement de qualité ménage un peu trop son potentiel.
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Pittoresque et sympathique, ce divertissement de qualité ménage un peu trop son potentiel.
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Il arrive (pendant la séquence d'ouverture, qui navigue avec dextérité entre rêve et réalité) qu'Un Monstre à Paris fasse sourire et ouvre l'appétit de merveilleux. Mais celui-ci est vite frustré, à moins que l'on se satisfasse d'entendre M. interprété par Vanessa Paradis.
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Il arrive (pendant la séquence d'ouverture, qui navigue avec dextérité entre rêve et réalité) qu'Un Monstre à Paris fasse sourire et ouvre l'appétit de merveilleux. Mais celui-ci est vite frustré, à moins que l'on se satisfasse d'entendre M. interprété par Vanessa Paradis.