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"Je m’appelle Claude Lorius et j’aurai 23 ans pour toujours." C’est un homme de 83 ans qui nous parle aujourd’hui, un homme qui a voué sa vie à la recherche dans l’Antarctique et à la lutte contre le réchauffement climatique. Les images d’archives retracent son parcours – avec quelques explications techniques sur les forages et autres expériences. Et elles parlent d’elles-mêmes. La voix off assène un peu trop le message écolo et on la souhaiterait plus discrète, mais puisque Lorius s’emploie depuis six décennies à alerter le monde sans que la mesure de la catastrophe n’ait été prise, on accepte cette redondance. Ce beau film volontairement éducatif fait passer le fond avant la forme.
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"Je m’appelle Claude Lorius et j’aurai 23 ans pour toujours." C’est un homme de 83 ans qui nous parle aujourd’hui, un homme qui a voué sa vie à la recherche dans l’Antarctique et à la lutte contre le réchauffement climatique. Les images d’archives retracent son parcours – avec quelques explications techniques sur les forages et autres expériences. Et elles parlent d’elles-mêmes. La voix off assène un peu trop le message écolo et on la souhaiterait plus discrète, mais puisque Lorius s’emploie depuis six décennies à alerter le monde sans que la mesure de la catastrophe n’ait été prise, on accepte cette redondance. Ce beau film volontairement éducatif fait passer le fond avant la forme.
Toutes les critiques de La glace et le ciel
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce document est un cri d'alarme. Lorius a su montrer aux hommes leur folie et continue à témoigner. Son feu sacré brûle toujours sous la glace.
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La pièce écossaise est ici parée des couleurs les plus sombres, à peine éclairée de rougeoiements sanguinolents.
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Luc Jacquet favorise une mise en scène impressionniste et contemplative pour la partie contemporaine, laisse simplement s'exprimer la beauté des paysages.
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Si le film est parfois un peu didactique, le propos généreux, les prises de vues sublimes et la personnalité de Claude Lorius finissent par emporter le morceau.
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Poétique et politique.
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Si le film est parfois un peu didactique, le propos généreux, les prises de vues sublimes et la personnalité de Claude Lorius finissent par emporter le morceau.
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Poétique et politique.
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Il est d'autant plus rageant de constater que cette très belle facture de l’image est aplatie, façon tapis de bombe, par une musique et un commentaire particulièrement emphatiques.
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De la rencontre entre le glaciologue et Luc Jacquet, lui-même grand amateur du continent austral - il a fait son premier voyage en Antarctique à peu près au même âge que Lorius -, on s’attendait à quelque chose de plus franchement personnel.
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Fastidieux à plus d’un titre, La glace et le ciel rappelle dans son traitement ces documentaires scientifiques surannés qu’on nous mettait jadis au lycée.
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Un brin moralisateur et auto-contemplatif, il demeure un voyage temporel et géographique surprenant et agréable qui ravira par son approche simplifiée et des paysages sublimes du royaume blanc.
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(...) le film pourrait s'appeler "La Glace, le ciel et Lorius au beau milieu", tant s'accumulent les tableaux du vieux sage (83 ans aujourd'hui), méditant seul dans le royaume de l'infiniment blanc, comme dans un écrin de plans figés à la beauté surréelle.
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(...) les archives, qui retracent le parcours de ce savant (...) sont passionnantes. Elles sont, hélas, organisées par un commentaire emphatique, coupées de plans grandiloquents et soulignées par une musique envahissante.
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De la rencontre entre le glaciologue et Luc Jacquet, lui-même grand amateur du continent austral - il a fait son premier voyage en Antarctique à peu près au même âge que Lorius -, on s’attendait à quelque chose de plus franchement personnel.
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Fastidieux à plus d’un titre, "La glace et le ciel" rappelle dans son traitement ces documentaires scientifiques surannés qu’on nous mettait jadis au lycée.
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Un brin moralisateur et auto-contemplatif, il demeure un voyage temporel et géographique surprenant et agréable qui ravira par son approche simplifiée et des paysages sublimes du royaume blanc.
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(...) le film pourrait s'appeler La Glace, le ciel et Lorius au beau milieu, tant s'accumulent les tableaux du vieux sage (83 ans aujourd'hui), méditant seul dans le royaume de l'infiniment blanc, comme dans un écrin de plans figés à la beauté surréelle.
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Ce doc, pas dénué de pédagogie tout de même, n'est finalement qu'un long reportage télé qui n'a pas grand-chose à faire au cinéma. Décevant.
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(...) le réalisateur ne fait qu’appliquer des recettes sans doute rares dans le documentaire, mais en réalité parfaitement standardisées, académiques voire poussives dans le domaine du spectaculaire.
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Ce doc, pas dénué de pédagogie tout de même, n'est finalement qu'un long reportage télé qui n'a pas grand-chose à faire au cinéma. Décevant.
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(...) le réalisateur ne fait qu’appliquer des recettes sans doute rares dans le documentaire, mais en réalité parfaitement standardisées, académiques voire poussives dans le domaine du spectaculaire.