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Un peintre dépressif redonne un sens à sa vie en faisant un bout de chemin avec Marylou, une ado mal dans sa peau... Jean Becker, le pape du chromo senior friendly, livre un nouvel éloge des bons sentiments à la facture téléfilmesque. La désuétude pépère de l’ensemble ne serait pas gênante si les approximations sociologiques (les « jeunes » sont filmés comme s’ils sortaient d’un clip de Balavoine) et les embardées réacs (Marylou manque se faire violer dès sa première sortie en boîte) ne donnaient à la fable un arrière-goût
franchement rance.
Toutes les critiques de Bienvenue parmi nous
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Malgré la présence de Patrick Chesnais, les clichés s’amoncellent, et le film fait gentiment sourire sans nous enchanter.
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Si le film débute avec ce personnage au comportement aussi imprévisible que celui d'Albert Dupontel dans Deux jour à tuer, la suite vire à la fable abstraite. La faute surtout à un scénario étonnamment linéaire, et à une représentation de la jeunesse qui date des années 90, et qui, par conséquent, sonne terriblement faux.
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De l'adulte qui patauge dans son questionnement à l'ado rebelle, les archétypes, voire les clichés, tiennent le plus souvent lieu de scénario.
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Scénario linéaire, dialogues convenus, clichés... Il n'y a pas que Patrick Chesnais qui tire la tronche, le spectateur aussi.