Toutes les critiques de 21 Jump Street

Les critiques de la Presse

  1. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Le film joue avec réussite la carte de l'humour et fait oublier la série originelle.

  2. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Une série culte des années 90, habilement transformée en teen-movie façon Apatow.

  3. Voici
    par Ariane Valadié

    (...) un énergique et hilarant festival de gags de geeks et de bogosses fumeux. Parodie d'enfer.

  4. L'Express
    par Christophe Carrière

    Il y avait de quoi être inquiet. La série 80’s – plutôt sérieuse au demeurant – qui avait déifié Johnny Depp auprès d’une génération de midinettes, transformée en buddy movie comique par le producteur de Fast & Furious ? Starsky & Hutch n’a donc servi de leçon à personne ? Figurez-vous que si car 21 Jump Street, diabolique machine à déconne, rigole de son handicap avec un aplomb redoutable (lorsqu’il annonce leur mutation aux deux bleus, leur boss mentionne un « vieux programme des années80 qui vient d’être réactivé ») et réussit là où beaucoup ont échoué en appliquant une recette simple : respecter l’héritage tout en ayant l’insolence d’exister en tant que film à part entière. Le résultat est un mélange détonnant entre SuperGrave et Hot Fuzz, mis en scène avec une liberté visuelle ahurissante (Lord et Miller ne sont pas les auteurs du génialement cintré Tempête de boulettes géantes pour rien) et tenu à bout de vannes par deux énergumènes tellement dépareillés qu’ils étaient forcément faits l’un pour l’autre. Pendant que Jonah Hill confirme le sien, Channing Tatum révèle un don insoupçonné pour la comédie et se taille la part belle des répliques instantanément cultes (« Fuck science ! »). On les quitte en priant pour que ce 21 Jump Street devienne vite une série. Comment ça, ça a déjà été fait ?

  5. Les Inrocks
    par Axelle Ropert

    Les gags gracieux (l'écolo qui chante) s'enchaînent à des séquences vrombissantes, le film trouvant au final dans ce mixage de diverses vitesses son rythme de croisière. Si les plus beaux films du retour dans le passé s'accordent avec la lenteur de la mélancolie (...), celui-ci choisit au contraire de creuser la dinguerie frénétique.

  6. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Bien rafistolée la série des années 80... Cette version fun et décomplexée, par les auteurs de Tempête de boulettes géantes, est une excellente surprise.

  7. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Autant prévenir tout de suite : cette version cinéma de 21 Jump Street entretient un lien assez lointain avec la série estampillée culte à la fin des années 80, ne serait-ce que dans la sensibilité et les préoccupations. Il s'agit clairement d'une comédie, empruntant la formule classique du buddy-movie, sans doute opportuniste mais efficace, (...) Ceux qui aiment les pastiches régressifs et potaches bourrés de clins d'œil et de cameos devraient apprécier, les fans hardcore de la série un peu moins.

  8. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    "21 Jump Street" réussit à faire fonctionner dans le même mouvement les ressorts archaïques du cinéma burlesque (...) et les subtilités voyantes des références et des détournements.

  9. Critikat.com
    par Benoît Smith

    Le film rejoue habilement la partition désormais connue de la "bromance", centrée sur les relations de couples de potes mâles en quête de complétude. Mais dès que l'issue se montre à portée, il y pousse ses personnages dans un déchaînement cathartique dont la violence en dit un peu trop long sur le refoulé de ses artisans.

  10. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Cette comédie d'action, à la limite de la parodie met en scène deux flics antagonistes et assume sa dimension homo-érotique. On aurait juste aimé que l'humour soit moins gras.

  11. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    On ne l’attendait pas du tout… On a bien eu raison. L’adaptation ciné d’une série télé qui mérite d’être au mieux vue… devant son petit écran.

  12. Libération
    par Bruno Icher

    Avec une constance inébranlable, le film enchaîne les situations les plus convenues du genre.

  13. Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    Réduite à deux personnages, la « brigade » en question se borne hélas à empiler les gags débiles et à humilier ses comédiens de la première à la dernière séquence.