PHOTOS - Les Petits meurtres d’Agatha Christie : Antoine Duléry : "Je ne me lasse pas d’être le commissaire Larosière"
PHOTOS - Les Petits meurtres d’Agatha Christie : Antoine Duléry : "Je ne me lasse pas d’être le commissaire Larosière"
PHOTOS - Les Petits meurtres d’Agatha Christie : Antoine Duléry : "Je ne me lasse pas d’être le commissaire Larosière"
Les petits meurtres d'Agatha Christie : Antoine Duléry : "Je ne me lasse pas d'être le commissaire Larosière"
<strong>Pour ce neuvième volet des Petits meurtres d'Agatha Christie, Un Cadavre sur l'oreiller, diffusé à 20h35 sur France 2, Antoine Duléry est ravi de reprendre sa tenue de commissaire. Mais ce soir, c?est son personnage qui est suspecté de meurtre. La rédaction de Télé 7 Jours a rencontré l'acteur le temps d'une interview.</strong><strong> </strong> <strong>Après une nuit arrosée, Larosière se retrouve dans de beaux draps? </strong> C?est le cas de le dire : au lit avec le cadavre d?une jeune fille, qui, en plus, se révélera une prostituée. Il n?en faut pas plus pour être soupçonné de meurtre. <strong>Cette péripétie illustre l?ambivalence de votre personnage. Aimez-vous en jouer?</strong> Bien sûr, et les scénaristes en rajoutent une louche à chaque épisode ! Larosière n?est pas comme un Maigret, qui mène une existence très rangée, demandant rituellement à sa femme "qu?est-ce qu?on mange ce soir ?" Non, sa vie est compliquée, mystérieuse, pas lisse et elle influe forcément sur l?enquête. Voilà pourquoi depuis six ans, je ne me lasse pas de jouer ce rôle. <strong>L?épisode de ce soir exploite ses faiblesses, dont son penchant pour la boisson?</strong> Qu?il s?agisse de flamboyance ou de dépression, les excès les états les plus excitant à jouer. Ce n?est pas si éloigné de moi. Je me suis régalé quand j?ai tourné la scène de biture? tout en restant sobre, je précise ! Larosière est un peu dépressif. Il se réconforte parfois grâce à l?alcool où aux femmes. Dans ces moments, un peu expressionnistes, je pense à mes modèles : Paul Meurisse, Pierre Brasseur et Louis Jouvet, qui avaient une telle force déclamatoire, une élégance à l?ancienne, une prestance? <strong>L?intrigue principale se déroule dans une maison close. Ça n?a pas dû vous déplaire ?</strong> Larosière s?y cache après s?être évadé. Lui, comme moi, aimons être entourés de jolies femmes ! J?ai trouvé vraiment plaisant toutes "ces perruches" en déshabillé autour de moi. C?est un univers visuel et évocateur? que je n?ai pas connu. Je suis un homme marié ! (à la scénariste et réalisatrice Pascale Pouzadoux, ndlr) <strong>L?esthétique des costumes et des décors est très léchée. Ça vous a aidé ?</strong> Oui, j?ai d?abord voulu exercer ce métier pour me déguiser. C?est très jouissif d?être plongé dans une autre époque, en 1939, de conduire des vieilles bagnoles, d?entrer dans un commissariat avec des comptoirs en bois, dans un bordel où le champagne coule à flot au son du piano? On est obligé d?assurer ! C?est théâtral, d?autant que la résolution de l?intrigue se tient toujours en huis clos, où je dois «déclamer» les conclusions de l?enquête, entouré des protagonistes. Tout cela donne un vrai cachet à la série et fait son succès. <strong>On se régale de plus en plus du duo que vous formez avec Marius Colucci, l?inspecteur Lampion. Chargé de vous innocenter, ne prendrait-il pas son indépendance ?</strong> Au fil des épisodes, il mûrit, gagne en assurance et assume mieux son homosexualité ! Colucci et moi prenons de plus en plus de plaisir à jouer ensemble et sommes devenus très proches dans la vie. Dans la rue les gens m?interpellent : "Vous n?êtes pas avec votre Lampion ?" <strong>Emmanuelle Touraine de Télé 7 Jours</strong><strong> </strong>
Juliet LEMONNIER Vernon DOBTCHEFF
Valérie SIBILIA Mathilde BISSON-FABRE Mata GABIN Antoine DULERY Angèle HUMEAU
Stefan WOJTOWICZ
Charles TEMPLON Antoine DULERY Marius COLUCCI
Marius COLUCCI Antoine DULERY
Charles TEMPLON Antoine DULERY Marius COLUCCI
Mata GABIN Antoine DULERY
Juliet LEMONNIER Vernon DOBTCHEFF
Juliet LEMONNIER Antoine DULERY
Stéphan WOJTOWICZ
Stefan WOJTOWICZ
Antoine DULERY Juliet LEMONNIER
Juliet LEMONNIER
Marius COLUCCI Antoine DULERY
Antoine DULERY Valérie SIBILIA
Bruno SLAGMULDER Antoine DULERY Eric WORETH Valérie SIBILIA Marius COLUCCI
Pour ce neuvième volet des Petits meurtres d'Agatha Christie, Un Cadavre sur l'oreiller, diffusé à 20h35 sur France 2, Antoine Duléry est ravi de reprendre sa tenue de commissaire. Mais ce soir, c’est son personnage qui est suspecté de meurtre. La rédaction de Télé 7 Jours a rencontré l'acteur le temps d'une interview.Après une nuit arrosée, Larosière se retrouve dans de beaux draps… C’est le cas de le dire : au lit avec le cadavre d’une jeune fille, qui, en plus, se révélera une prostituée. Il n’en faut pas plus pour être soupçonné de meurtre.Cette péripétie illustre l’ambivalence de votre personnage. Aimez-vous en jouer?Bien sûr, et les scénaristes en rajoutent une louche à chaque épisode ! Larosière n’est pas comme un Maigret, qui mène une existence très rangée, demandant rituellement à sa femme "qu’est-ce qu’on mange ce soir ?" Non, sa vie est compliquée, mystérieuse, pas lisse et elle influe forcément sur l’enquête. Voilà pourquoi depuis six ans, je ne me lasse pas de jouer ce rôle.L’épisode de ce soir exploite ses faiblesses, dont son penchant pour la boisson…Qu’il s’agisse de flamboyance ou de dépression, les excès les états les plus excitant à jouer. Ce n’est pas si éloigné de moi. Je me suis régalé quand j’ai tourné la scène de biture… tout en restant sobre, je précise ! Larosière est un peu dépressif. Il se réconforte parfois grâce à l’alcool où aux femmes. Dans ces moments, un peu expressionnistes, je pense à mes modèles : Paul Meurisse, Pierre Brasseur et Louis Jouvet, qui avaient une telle force déclamatoire, une élégance à l’ancienne, une prestance…L’intrigue principale se déroule dans une maison close. Ça n’a pas dû vous déplaire ?Larosière s’y cache après s’être évadé. Lui, comme moi, aimons être entourés de jolies femmes ! J’ai trouvé vraiment plaisant toutes "ces perruches" en déshabillé autour de moi. C’est un univers visuel et évocateur… que je n’ai pas connu. Je suis un homme marié ! (à la scénariste et réalisatrice Pascale Pouzadoux, ndlr)L’esthétique des costumes et des décors est très léchée. Ça vous a aidé ?Oui, j’ai d’abord voulu exercer ce métier pour me déguiser. C’est très jouissif d’être plongé dans une autre époque, en 1939, de conduire des vieilles bagnoles, d’entrer dans un commissariat avec des comptoirs en bois, dans un bordel où le champagne coule à flot au son du piano… On est obligé d’assurer ! C’est théâtral, d’autant que la résolution de l’intrigue se tient toujours en huis clos, où je dois «déclamer» les conclusions de l’enquête, entouré des protagonistes. Tout cela donne un vrai cachet à la série et fait son succès.On se régale de plus en plus du duo que vous formez avec Marius Colucci, l’inspecteur Lampion. Chargé de vous innocenter, ne prendrait-il pas son indépendance ?Au fil des épisodes, il mûrit, gagne en assurance et assume mieux son homosexualité ! Colucci et moi prenons de plus en plus de plaisir à jouer ensemble et sommes devenus très proches dans la vie. Dans la rue les gens m’interpellent : "Vous n’êtes pas avec votre Lampion ?"Emmanuelle Touraine de Télé 7 Jours
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