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PHOTOS - Belle toute nue : William Carnimolla, un coach pas comme les autres

Belle toute nue : William Carnimolla, un coach pas comme les autres

Le credo de William Carnimolla, le coach de <strong>Belle toute nue</strong> sur <strong>M6</strong>, est de s?accepter tel qu?on est. Son secret ? Révéler aux candidates les atouts qu?elles ont toujours ignorés. Christine, 44 ans, se répète qu?elle est "vieille, grosse et moche". Pauline, 22 ans, a perdu 23 kilos, mais ne parvient toujours pas à s?aimer. Pour Télé 7 Jours, William explique, comment il a su leur redonner confiance, en décryptant les différentes étapes de l?émission. <strong>L?épreuve des miroirs </strong> "C?est une phase très importante, qui requiert beaucoup de communication, de confiance et d?honnêteté. Avant l?épreuve, elles m?ont toutes les deux dit qu?elles se trouvaient moches, alors qu?elles reconnaissent ne jamais se regarder dans la glace. Il me suffit juste de leur dire : ? Comment peux-tu me dire que tu es grosse et laide si ça fait trois ans que tu évites le miroir ?? Et là, toujours un moment de silence. Un déclic s?opère." <strong>La comparaison avec les autres</strong> "Christine avait déjà conscience que le problème venait d?elle. C?est pour ça que je lui ai demandé de se comparer à mes modèles, de différentes corpulences, pour lui apprendre à se regarder en s?acceptant. Avec Pauline, il fallait y aller plus en douceur. Elle avait un travail énorme à faire sur elle-même. J?ai choisi de la confronter à sa propre image déformée, pour que ce soit plus percutant." <strong>La photo en lingerie exposée en lieu public</strong> "J?essaie d?arrêter le maximum de gens différents pour avoir un panel représentatif. Pauline avait plus de problèmes avec les hommes, donc j?ai privilégié les avis masculins. L?un d?entre eux n?a pas été très cool, il a dit qu?il préférait les top modèles. Je l?ai envoyé bouler gentiment. On en a beaucoup ri avec Pauline, car c?était la première fois que ça m?arrivait. L?important, c?est que ces femmes comprennent qu?il en faut pour tous les goûts et que même les pires vacheries des autres sont moins sévères que ce qu?elles pensent d?elles-mêmes." <strong>Shopping/Relooking</strong> "Cette phase n?est qu?un outil. Ce n?est pas la solution du problème. Le but est qu?elles s?aiment comme elles sont. Il ne faut donc pas tout changer ! Les bases des conseils sont toujours les mêmes : apprendre à aimer son corps, à faire avec. Il y a des petits trucs pour camoufler ses défauts et mettre ses atouts en valeur. Pour Christine, ça passait par des sous-vêtements gainants. Pour Pauline, il fallait simplement qu?elle se dévoile, qu?elle joue avec ses formes sexy. Elle est devenue une vraie pin-up !" <strong>Photo et défilé nue</strong> "Pour Christine, on avait prévu une photo très sexy avec un énorme punching ball, mais celui que j?ai reçu était tout petit. Je me demandais ce que j?allais bien pouvoir cacher de son corps? On y est allé. Les candidates ont toujours le choix de le faire ou non. Généralement, il suffit que je leur dise qu?elles peuvent renoncer pour qu?elles foncent ! C?est mon truc. C?est la même chose pour le défilé. Et quand on finit, on est toujours dans l?euphorie de la victoire !" Jérémy Parayre du magazine Télé 7 jours

Le credo de William Carnimolla, le coach de Belle toute nue sur M6, est de s’accepter tel qu’on est. Son secret ? Révéler aux candidates les atouts qu’elles ont toujours ignorés.Christine, 44 ans, se répète qu’elle est "vieille, grosse et moche". Pauline, 22 ans, a perdu 23 kilos, mais ne parvient toujours pas à s’aimer. Pour Télé 7 Jours, William explique, comment il a su leur redonner confiance, en décryptant les différentes étapes de l’émission.L’épreuve des miroirs "C’est une phase très importante, qui requiert beaucoup de communication, de confiance et d’honnêteté. Avant l’épreuve, elles m’ont toutes les deux dit qu’elles se trouvaient moches, alors qu’elles reconnaissent ne jamais se regarder dans la glace. Il me suffit juste de leur dire : “ Comment peux-tu me dire que tu es grosse et laide si ça fait trois ans que tu évites le miroir ?” Et là, toujours un moment de silence. Un déclic s’opère."La comparaison avec les autres"Christine avait déjà conscience que le problème venait d’elle. C’est pour ça que je lui ai demandé de se comparer à mes modèles, de différentes corpulences, pour lui apprendre à se regarder en s’acceptant. Avec Pauline, il fallait y aller plus en douceur. Elle avait un travail énorme à faire sur elle-même. J’ai choisi de la confronter à sa propre image déformée, pour que ce soit plus percutant."La photo en lingerie exposée en lieu public"J’essaie d’arrêter le maximum de gens différents pour avoir un panel représentatif. Pauline avait plus de problèmes avec les hommes, donc j’ai privilégié les avis masculins. L’un d’entre eux n’a pas été très cool, il a dit qu’il préférait les top modèles. Je l’ai envoyé bouler gentiment. On en a beaucoup ri avec Pauline, car c’était la première fois que ça m’arrivait. L’important, c’est que ces femmes comprennent qu’il en faut pour tous les goûts et que même les pires vacheries des autres sont moins sévères que ce qu’elles pensent d’elles-mêmes."Shopping/Relooking"Cette phase n’est qu’un outil. Ce n’est pas la solution du problème. Le but est qu’elles s’aiment comme elles sont. Il ne faut donc pas tout changer ! Les bases des conseils sont toujours les mêmes : apprendre à aimer son corps, à faire avec. Il y a des petits trucs pour camoufler ses défauts et mettre ses atouts en valeur. Pour Christine, ça passait par des sous-vêtements gainants. Pour Pauline, il fallait simplement qu’elle se dévoile, qu’elle joue avec ses formes sexy. Elle est devenue une vraie pin-up !"Photo et défilé nue"Pour Christine, on avait prévu une photo très sexy avec un énorme punching ball, mais celui que j’ai reçu était tout petit. Je me demandais ce que j’allais bien pouvoir cacher de son corps… On y est allé. Les candidates ont toujours le choix de le faire ou non. Généralement, il suffit que je leur dise qu’elles peuvent renoncer pour qu’elles foncent ! C’est mon truc. C’est la même chose pour le défilé. Et quand on finit, on est toujours dans l’euphorie de la victoire !"Jérémy Parayre du magazine Télé 7 jours