« Nous avons bu du thé, et peut-être quelque chose d’un peu plus fort l’après-midi », se souvient l’acteur britannique.
L’amitié entre Brad Pitt et Leonardo DiCaprio n’est pas l’unique bromance à faire rêver Hollywood. Devenus proches sur le plateau de tournage du premier X-Men il y a 20 ans, Patrick Stewart et Ian McKellen, qui jouaient respectivement Professeur X et Magneto, ont bâti une solide amitié au fil des années, et ont depuis tourné ensemble dans plusieurs autres projets. Patrick Stewart, actuellement à l’affiche du spin-off Star Trek : Picard sur Amazon Prime, est revenu sur leur amitié dans une interview filmée pour le média Wired.
"La Fox nous avait tous les deux invité à faire partie de ce projet à peine connu appelé X-Men, ironise l’acteur de 79 ans. Nous avions des caravanes mitoyennes. Pour ce genre de films, tu passes plus de temps dans ta caravane que devant la caméra. Ian et moi avons traîné ensemble, nous avons bu du thé – et peut-être quelque chose d’un peu plus fort l’après-midi – et nous avons appris à nous connaître." Il ajoute : "Ce qui a rendu le tout charmant, c’est que nous avons découvert que nous avions énormément de points en commun. Et d’ailleurs, c’est lui qui nous a mariés ma femme et moi. Il a officié la cérémonie. N’est-ce pas merveilleux ?" Patrick Stewart a épousé la chanteuse américaine Sunny Ozell en septembre 2013, cinq ans après l’avoir rencontrée dans un restaurant à New-York.
X-Men : Patrick Stewart de retour en Charles-Xavier au sein du MCU ?Autre anecdote marquante, les deux acteurs ont tous les deux reçu le titre de Chevalier de l'Ordre de l'Empire Britannique. Le sujet a été évoqué au cours de l’interview : "Ce soir-là, j’ai appelé ma femme et je lui ai dit, ‘Oh, bonjour. Dame Stewart est-elle à la maison ?’ parce que ma femme a désormais un titre elle aussi.", se souvient l’acteur.
Si Patrick Stewart et Ian McKellen sont devenus proches lors du tournage du premier X-Men, les deux hommes se sont rencontrés en 1977 sur les planches, dans la pièce Every Good Boy Deserves Favour, de Tom Stoppard. Mais ils n’étaient pas restés en contact à l’époque.
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