Favorite de cette nouvelle saison de Danse avec les stars, Alizée éblouit chaque semaine public et jury mais ne compte pas s’assoir sur ses lauriers.
Qu’elle fasse de la danse contemporaine ou qu’elle se lance dans un show bollywoodien enflammé, Alizée parvient toujours à surprendre autant qu’elle enchante. Mais dans Danse avec les stars, il est hors de question de se reposer sur ses lauriers, et la fille de l’ex-Lolita est bien là pour le lui rappeler, comme cette dernière l’explique à Télé Poche : "Elle est fière ! Elle me dit que ça n’est pas parce qu’on est première au début qu’on gagne. Mais moi, je veux gagner pour elle !". D’ailleurs cette place de favorite, ça ne lui convient pas beaucoup à Alizée : "Ce dossard de favori, ce n’est ni le jury ni la production, mais les médias qui le collent ! C’est ça qui me dérange. J’ai, certes, de bonnes notes, mais chaque semaine, je repars de zéro. J’espère juste que ce statut me portera plus qu’il ne me desservira".Lucide, la jeune femme se laisse également aller au plaisir de la compétition même si elle l’affirme, il n’y aucun tension entre eux : "Entre nous, il n’y a pas d’esprit de compétition. Lors du troisième prime-time, Brahim était en bas du classement et ça ne l’a pas empêché de m’encourager pour ma chorégraphie Bollywood !". D’ailleurs dans l’une des épreuves, les candidats devaient faire allusion à un moment marquant de leur vie et pour Alizée, ce fut sa séparation d’avec Jérémy Chatelain, le père de sa fille. Un choix qu’elle ne regrette pas du tout : "On m’a demandé d’évoquer un temps fort de ma vie, je n’allais pas mentir en m’inventant une tante décédée ! Et ne croyez pas les journaux qui racontent que le père de ma fille m’en veut. C’est faux".Le plus dur ? Finalement c’est peut-être pour le corps que cette émission est un véritable challenge : "J’ai encore un peu mal à la cheville mais mon dos est opérationnel ! Je savais que ça allait être fatiguant, mais je ne m’attendais pas à cumuler les blessures. Je vais être plus vigilante". Bah oui, ce serait bête de perdre par forfait.
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