Tous les films commençant par G

Les années 70, à la frontière sud de la Bulgarie. De nouveaux soldats arrivent au poste frontière, installé dans un ancien monastère. Les lois qui y régissent le quotidien sont absurdes, sous l'autorité d'un lieutenant fou protégeant un système dément. Un

Eini vit dans une maison isolée dans un bois avec son père. Ce dernier lui a toujours dit que le monde extérieur était hostile et qu'il fallait s'en éloigner à tout prix. Cet homme, ultra-religieux, se révèle dangereux, frappant sa fille sans raison apparente. La jeune fille découvre les raisons de la psychose de son père dans l'histoire de sa famille et à travers l'enfer vécu par sa grand-mère, symbole de liberté. Supportant de moins en moins la violence des coups, elle veut trouver un moyen pour s'enfuir et vivre sa vie...

Au bout d’une allée, un café que personne ne s’attendrait à trouver. Les gens s’assoient et parlent de leur vie. Au fil du temps, les clients se côtoient et apprennent à se connaître. Une femme les observe et semble mettre par écrit leurs pensées. La nuit commence à tomber mais tous restent dans le café.

Trois journalistes, futurs réalisateurs de «King Kong», vont à la rencontre d'un peuple kurde oublié, les Bakhtiar. Ils l'accompagnent alors dans sa grande migration vers des pâturages plus verts de la Perse. La traversée mouvementée d'un large fleuve par

Un loup-garou dans les Carpates.

Une journée comme toutes les autres dans le métro parisien, en apparence du moins. Un jeune homme lit tranquillement. Une jeune femme s'assoit à côté de lui. Ils n'ont rien en commun et pourtant.

« Cette petite Gradiva 1 peut être le premier moment d'une Gradiva long métrage, comme une esquisse est le premier moment d'une série de tableaux, ou comme un prélude musical. Quoiqu'il en soit, Gradiva 1 aura une autonomie en tant que "morceau", quant à sa forme et à son inspiration. » (Raymonde Carasco, 1977)

Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky qui effectue son dernier vol avant de prendre sa retraite. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre -- et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste.  Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...Existe en version 3D.

IM Kwon-taek est l’un des grands maîtres du cinéma coréen. Né dans les années 30, sous occupation japonaise, il a commencé le cinéma dans les années 60, et a tourné plus de 100 longs-métrages depuis. GRAVITY OF THE TEA suit IM Kwon-taek dans son quotidien, entre deux tournages.

Au cours d'un voyage d'études en Italie, Lamartine, surpris par la tempête, accepte l'hospitalité d'un pêcheur. Il passe quelques jours chez lui, auprès de Graziella qu'il a éblouie.

Il était projectionniste et avait le sentiment heureux de participer à la création des films.Elle était infirmière, et danseuse le soir… Avec son profil à la Picasso elle l’aimait, mais de loin sans y croire.C’était il y a 20 ans. Une autre vie. Le hasard et la prison ont fini par les réunir au rythme cadencé d’Une Journée Particulière d’Ettore Scola.Sous le regard d’Alice, une ancienne prostituée, ils finissent leur peine le jour à Jeanne d’Arc, un grand pensionnat fermé pendant les vacances d’automne, et la nuit dans des cellules mitoyennes en prison. Mais l’enfer n’est plus la prison, « Sing Sing » comme ils disent, mais « les autres ». Graziella et Antoine sont alors prêts au pire des défis pour survivre.