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Les critiques de Première

  1. Première
    par Thierry Chèze

    En 1943, alors que l’Allemagne occupe l’URSS, un paysan hongrois, enrôlé de force dans une unité spéciale, se retrouve à prendre la tête de celle- ci à la mort de son chef. Pour son premier long, Dénes Nagy scrute la part d’humanité qui peut subsister dans un tel enfer de boue et de sang. La mise en scène - primée à Berlin – est impressionnante mais le parti pris aride de l’ensemble (absence de dialogues, rythme volontairement lent) tient hélas artificiellement à distance.