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Hot Girls Wanted : les révélations des réalisatrices du docu choc sur l'industrie du porno

Une nouvelle version par rapport à celle de Sundance

Netflix, l'endroit idéal pour ce genre de productions

Un phénomène d'une ampleur encore sous-estimée

Le point de départ : l'accomplissement des actrices

Une industrie méfiante

Une fracture générationnelle

L'anonymat ne dure qu'un temps

Depuis quelques jours, les abonnés français de Netflix peuvent découvrir Hot Girls Wanted, documentaire sans concession sur l'envers de l'industrie du X présenté au dernier festival de Sundance. Produit par l'actrice Rashida Jones, le film aborde frontalement la question du traitement des très jeunes actrices du teen porn, dont la prolifération a conduit à une dégradation, dans certains cas, des conditions de travail pour les hardeuses débutantes tentant de se faire un nom.C'est à ces jeunes femmes se heurtant à la dure réalité d'une industrie pas toujours scrupuleuse que les réalisatrices Jill Bauer et Ronna Gradus ont voulu s'intéresser après avoir déjà exploré cet univers dans leur précédent documentaire Sexy Baby. Globalement très bien reçu par la critique américaine à sa sortie, Hot Girls Wanted n'a pas manqué d'attirer l'attention sur ces comportements limite quitte à provoquer certains débats au sein même de l'industrie du X, confrontée à la réalité économique du piratage et de la baisse des budgets de production.Au mois d'avril dernier, les deux cinéastes ont tenu une table ronde critique qui a permis d'en apprendre plus sur leur démarche et sur la réception de leur œuvre. Le site Indiewire, présent lors de cette table ronde, a décortiqué et relevé les principales révélations qui en sont ressorties.La bande-annonce de Hot Girls Wanted, disponible en France sur Netflix :