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La nouvelle série fantastique de Julie Plec vient de débuter. La showrunner fait déjà quelques confidences...

Après avoir dit adieu à Vampire Diaries et à The Originals, la scénariste Julie Plec vient de dévoiler sa nouvelle série dérivée, Legacies, centrée sur la petite Hope Mickaelson. Un premier épisode intrigant, que la showrunner décrypte.

La Maison Salvatore a bien changé

"Oui, cela fait évidemment 10 ans que l'école a ouvert et elle a grandi au cours de la décennie", justifie Plec dans Entertainment Weekly. "Nous sommes donc allés avec l'idée que l'école elle-même s'était agrandie avec des ailes et de nouveaux bâtiments afin que nous puissions vraiment avoir cette idée de château d'emblée."

Mais c'est quoi "Wickery" ?

La créatrice raconte ensuite comment a été créé le sport qui anime l'école de Legacies. "Aux auteurs, j'ai carrément demandé de m'inventer un  jeu à la manière du Quidditch dans Harry Potter. C'était écrit comme ça dans le script", se souvient Plec. "Et puis Chris Grismer, notre réalisateur, y a bien réfléchi et a conçu un jeu de rugby, disputé à la vitesse des vampires et tout en lévitation. On a développé le sport sur cette base."

Stefan (Paul Wesley) va-t-il apparaître dans Legacies, le spin-off de Vampire Diaries ?

Qui est vraiment Landon ?

Ce pilote de Legacies est curieusement très centré sur le jeune homme, créature fantastique mystérieuse. "J'ai décidé d'embrasser pleinement mon côté Newport Beach et de faire de Landon le Ryan Atwood du pilote de Legacies", résume Julie Plec dans Deadline. "J'ai voulu présenter le monde à travers son expérience. Cela a fini par en faire un point d’entrée dans ce monde…avant cette révélation, évidemment, à la fin de l'épisode (...) Au départ, je pensais qu'il serait le personnage à jamais humain de Legacies - le Matt Donavan de Legacies en somme. Et puis en écrivant le pilote, j’ai réalisé que toute la série dépendant énormément d’une relation amoureuse réussie - presque dans la veine de Stefan et Elena. Je sais que si elle ne fonctionne pas, alors je n’ai rien. Mon cerveau a commencé à parcourir les scénarios possibles... de ce que je pouvais faire pour emmener le public sur un chemin, celui qu'il voulait voir, puis le retourner !"