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Dominic Monaghan, qui joue Merry dans les films, révèle que le réalisateur a dû batailler pour sauver les quatre petits héros des livres de J.R.R. Tolkien.

Révélation assez étonnante, concernant la trilogie Le Seigneur des Anneaux. Le site américain ScreenRant écrit que les producteurs auraient plus qu'insisté pour que Peter Jackson supprime le personnage de l'un des quatre Hobbits dans l'adaptation cinématographique, alors que celui-ci était présent dans l'oeuvre originelle, à savoir les romans écrits par J.R.R. Tolkien. Ces informations ont été communiquées par Dominic Monaghan, qui joue Meriadoc Brandebouc.

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Les films, tournés en Nouvelle-Zélande au tournant des années 2000, font partie des plus grands succès du cinéma. Avec un casting de qualité (Elijah Wood, Cate Blanchett, Ian McKellen, Liv Tyler, Viggo Mortensen, Sean Bean et Andy Serkis...), le premier de la franchise sort en 2001, suivi de deux autres, respectivement en 2002 et 2003. Dominic Monaghan a récemment lancé un podcast, nommé "The Friendship Onion" ("L'Oignon de l'Amitié" en français) avec sa co-star Billy Boyd, qui endossait le rôle d'un autre Hobbit : Peregrin "Pippin" Took. Lors de ces épisodes radiophoniques, en plus de parler actualité et culture pop, ils évoquent également des anecdotes et exclusivités sur les tournages des films.

Si vingt ans après, le duo s'est rappelé les moments mémorables des tournages (certaines scènes qu'ils ont dû tourner plusieurs fois, l'entraînement au maniement des armes, les chansons...), il a aussi évoqué un souvenir moins agréable, à savoir la pression exercée sur le Peter Jackson de la part des producteurs, qui ne voulaient pas de quatrième hobbit. Monaghan déclarait à ce propos : "C'est une bonne chose que ça ne soit pas arrivé, parce que ça aurait été moi. Ils n'allaient pas tuer Frodon et Sam. Les seuls qui restaient étaient Merry et Pippin. Mais ils n'auraient pas tué Pippin parce qu'il a une histoire très forte avec Gandalf. Ça aurait été moi, sans aucun doute. Je pense que Peter Jackson s'est dit : "C'est une œuvre lumineuse, donc nous devons rester proches du texte". Alors, il s'en est tenu à ses principes. Oui, je suis reconnaissant que ça ne soit pas arrivé."

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