En septembre pour la sortie du road movie Hit & Run, il posait de profil en tee-shirt pour The Hollywood Reporter et revenait sur son passé tumultueux, lorsqu’il buvait et se droguait. Pour le mois de décembre, c’est en couverture du magazine Esquire qu’on retrouve Bradley Cooper, beaucoup plus apprêté pour promouvoir Happiness Therapy, son film avec Jennifer Lawrence qui pourrait le faire rayonner aux prochains Oscars (il sortira en France le 30 janvier 2013).L’acteur de 37 ans, toujours en tournage au Mexique de la comédie Very Bad Trip 3, revient sur son enfance et s’attarde plus particulièrement sur ses parents Charlie et Gloria qui l’ont élevé dans la petite ville de Jenkintown, en Pennsylvanie. "J'ai grandi dans une famille intéressante. Mon père était irlandais, et ma mère italienne. C'était tout un schéma", raconte le beau blond dans une interview. Seulement, et on commence à le savoir, Bradley Cooper n’était pas du genre petit garçon modèle. Il raconte : "Je leur ai fait connaître l'enfer. À 15 ans, j'ai été arrêté pour avoir consommé de l'alcool".Heureusement, "[sa] mère Gloria a toujours dit [à ses enfants] de l'appeler pour lui faire savoir où [ils] étaient. Il y a toujours eu une bonne communication avec [ses] parents ", souligne le meilleur ami de Jennifer Garner dans la série Alias. Il fait plus précisément les éloges de son père, malheureusement décédé l’an dernier. Comme il l’explique, c’est lui qui a réveillé chez lui cet attrait pour le 7ème art : "Mon père était méchamment élégant et curieux intellectuellement. Nous vivions dans la rue en face d'un cinéma. Nous parlions toujours de tous ces films à l'affiche et quand j'ai été en âge de les apprécier il a commencé à me les introduire." Et d’ajouter : "C'était un fan inconditionnel de Tom CourtenayLa Solitude du coureur de fond (film britannique réalisé par Tony Richardson en 1962, ndlr) est l'un des premiers films qu'il m'a montré. Avec L'Habilleur (film britannique de Peter Yates sorti en 1983) et Au-dessous du volcan (film américain réalisé par John Huston en 1984). Il adorait Albert Finney."Pour voir les autres clichés de Bradley Cooper beau gosse dans Esquire, cliquez ici