La psychose des clowns : la faute au cinéma ?
La psychose des clowns : la faute au cinéma ?
A mourir de rire
Depuis plusieurs jours, les incidents concernant des agressions soi-disant commises par des personnes déguisées en clowns se multiplient en France (ou du moins dans les médias). A quatre jours d'Halloween, évidemment. Et si c'était (en partie) la faute au cinéma, qui a su jouer sur la flippe inspirée par l'association entre la figure du clown -censé faire rire les petits n'enfants- et l'horreur pure et sanguinolente. A force de ressasser l'image, le cinéma a-t-il fini par l'imprimer dans la psyché collective ? On fait défiler les <em>usual suspects</em> parmi les clowns psychopathes du cinéma. A ne pas reproduire à la maison.
Depuis plusieurs jours, les incidents concernant des agressions soi-disant commises par des personnes déguisées en clowns se multiplient en France (ou du moins dans les médias). A quatre jours d'Halloween, évidemment. Et si c'était (en partie) la faute au cinéma, qui a su jouer sur la flippe inspirée par l'association entre la figure du clown - censé faire rire les petits n'enfants - et l'horreur pure et sanguinolente. A force de ressasser l'image, le cinéma a-t-il fini par l'imprimer dans la psyché collective ?On fait défiler les usual suspects parmi les clowns psychopathes du cinéma. A ne pas reproduire à la maison.
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