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Petit florilège de l'égo-trip de QT en promo pour Les Huit Salopards.

C’est aussi pour ça qu’on l’aime : en pleine tournée promo de son super western Les 8 Salopards, l’ami Tarantino n’a encore une fois pas pu s’empêcher de vivre chacune de ses interviews comme un ego-trip. On a tout lu, tout écouté, tout compilé. Petit florilège des plus belles perles mégalo de QT.

«  Ça ne me pose aucun problème de revoir mes films, au contraire. En général, je dirais qu’il ne s’écoule pas 18 mois sans que j’ai revu l’intégralité de ma filmo au moins une fois. Dès que je tombe sur un des mes films en zappant sur le câble, vous pouvez être sûr que je vais en regarder plusieurs scènes. (…) Je ne vais pas vous mentir : j’adore mes films et je prends énormément de plaisir à les revoir. »
(Première)

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« Je ne suis pas compétitif en tant que réalisateur. Mais si je gagne un troisième Oscar du scénario, je serai à égalité avec Woody Allen. (…) Je veux être le recordman du nombre d’Oscars du meilleur scénario ! Quatre, c’est bien. Surtout en dix films. Quand j’aurai réussi, et que je serai mort, ils pourront renommer cet Oscar « le Quentin ». »
(GQ)

QT veut que l'Oscar du meilleur scénario soit renommé le Quentin

« David O. Russell est le meilleur directeur d’acteurs en activité, à égalité avec moi. »
(Vulture)

« Dire que Boulevard de la mort est mon pire film ne veut pas dire que c’est un mauvais film, juste que c’est le moins bon. Il en faut bien un. »
(Vanity Fair)

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« Les commentaires politiques et sociaux sur mon film n’ont aucun sens à mes yeux. Mon job, c’est de les ignorer, parce que ces commentaires ne parlent que d’aujourd’hui, de 2015. Mon film n’est pas une bouteille de lait avec une date de péremption. Il sera encore visible dans 20 ans, dans 30 ans et, je l’espère, dans 100 ans. Les articles vont et viennent, mais le film, lui, restera. Et je tiendrai ma revanche en me mettant les enfants et les petits-enfants des critiques dans la poche. Je vois d’ici ce critique devenu vieux, à table, en famille, le jour de Thanksgiving, en train d’écouter sa petite-fille lui expliquer qu’elle étudie Tarantino à l’école, et que c’est le cours le plus stimulant qu’on puisse imaginer. Il sera condamné à écouter sa descendance chanter mes louanges ! »
(Entertainment Weekly)

« Il y a environ 13 ans, j’avais très envie d’avoir des enfants. J’ai eu une baby fever. J’y pensais beaucoup. (…) Beaucoup de gens m’y encourageaient, en me disant quel père génial je ferais. »
(Entertainment Weekly)

« De la même façon que Bob Dylan a du survivre aux années 60, j’ai du survivre aux années 90. »
(Vulture)

« On retrouve aussi dans mon film l’influence de The Thing, de El Topo, de 2001, l’Odyssée de l’espace… ça bouillonne dans mon cerveau ! »
(Le Journal du Dimanche)

« Je fais partie des cinq personnes qui ont reçu deux Oscars du meilleur scénario. Les quatre autres sont Woody Allen, Charles Brackett, Billy Wilder et Paddy Chayefsky. Le jour où j’ai réalisé ça, je me suis dit : « Nom de Dieu ! Ce sont les plus grands scénaristes de l’histoire d’Hollywood ! » »
(Vulture)

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« Ca peut paraître un petit peu égocentrique, mais je ne me sens plus en compétition avec qui que ce soit désormais. »
(Vulture)

Bande annonce des Huit Salopards, toujours dans les salles :