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Patrice Leconte, qui aime les acteurs, donne une partition égale à Daniel Auteuil et Dany Boon, croque notre époque en deux temps trois mouvements et signe une fable sur la rédemption ponctuée par des jeux radiophoniques et télévisés où se jouent bien davantage qu’un pactole espéré. Et c’est mon dernier mot, Patrice.
Toutes les critiques de Mon meilleur ami
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) fantaisie sur l'amitié, riche d'enseignement.
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(...) le retour de Patrice Leconte à un cinéma digne de lui, après quelques égarements qu`on aurait pu croire sans issue.
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(...) un film plein d'enseignements qui, à cette période de l'année, peut ressembler à un conte de Noël.
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En fait, avec ce film touchant mais très moyen, Patrice Leconte joue au bernard-l’hermite en s’introduisant dans la coquille de Francis Veber. Mais cette imitation, consciente ou non, du maître du « Diner de cons », n’est, au final, qu’une pâle copie.
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La mise en scène de Patrice Leconte est discrète : elle s"efface avec élégance derrière le récit et les personnages (...) une modestie qui vise à l'efficacité sans apprêt, à l'éclosion simple des émotions sans besoin de distanciation.
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Au-delà de la candeur spontanée et touchante d'un Dany Boon plein de bonhomie, reste l'image troublante d'un Daniel Auteuil empêtré dans son incapacité à nouer et vivre des rapports humains.
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C’est une fable sociale bien morale que nous sert Patrice Leconte. On espérait un nouveau Tandem, il faudra se contenter d’une comédie en mode mineur.
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Autant de banalités étonnent de la part d'un cinéaste qui a souvent su mêler finesse psychologique, rires et profondeur des sentiments. (...) Mon meilleur ami ne propose pas grand chose au spectateur : pas d'éclat de rire, pas d'émotion pure et une mise en scène sans aucun relief (...)
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(...) Mon meilleur ami n'est pas le meilleur film de Patrice Leconte. Construction, dialogues, situations : tout sent le surligné.
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(...) traitée par Patrice Leconte, l'affaire (...) prend une tournure implacablement artificielle et démagogique sur un air populo faisandé (...)