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Si l'histoire demeure toujours aussi puissante, le relief donne davantage d'ampleur à la tragédie humaine et sublime l'émotion. Les fans ne s'en priveront pas !
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James Cameron réaménage son plus grand succès au standard de la 3D. Le gain n’est pas évident, mais la force du film est insubmersible. (...) Le Titanic n’est donc pas endommagé, il est même pimpant – et toujours aussi fort – pour toucher un nouveau public, mais la 3D l’a-t-elle substantiellement amélioré ? Hélas, la réponse est non : l’expérience demeure à peu près la même, si tant est qu’on ne soit pas gêné par le port des lunettes, la baisse de luminosité et le coût supplémentaire… Cela confirme que la troisième dimension se pense sur le tournage et non pas en salle de montage, comme Cameron, pris ici en flagrant délit d’opportunisme, le défendait au moment d’Avatar.
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Quatorze ans plus tard, que reste-t-il du légendaire film-catastrophe de James Cameron ? Tout. A savoir un spectacle extraordinaire qui justifie à lui seul l’invention des écrans géants, une déchirante histoire d’amour et un prodige de narration, auxquels s’ajoute une magnifique conversion en relief, prétexte à une implication physique d’autant plus immersive quelle n’est jamais ostentatoire.
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Ajoutant du réalisme aux scènes spectaculaires, le relief nous donne réellement l'impression d'être à bort du paquebot. Bref, une belle immersion dans la légende.
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Titanic doit faire ses preuves. Les spectateurs embarqueront-ils une nouvelle fois sur le RMS Titanic ? On ne pense pas trop se mouiller en répondant que oui. Prévoyez les mouchoirs, les larmes aussi sont en 3D...