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Un flm bourré d'effets spéciaux reprenant les codes du genre de la saga pour ados : triangle amoureux, superpouvoirs, forces maléfques, malédiction familiale, etc. À noter au casting, de grands noms des séries télé, tels Lena Headey de Game of Thrones ou Jonathan Rhys Meyers des Tudors
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Ecrit en collaboration avec la romancière, le film garde néanmoins pour ambition louable d'être un film avant de servir un livre pour se nourrir de son succès. Assez bien construit sur un plan rythmique, mieux joué, La Cité des Ténèbres entretient avec les effets spéciaux des rapports plus simples et plus sains que les vampires à réaction de la saga Twilight. Dans les grandes lignes, l'histoire ne surprend guère, et certaines gratuités sont confondantes. Ainsi, même dans l'urgence, même si la vie des mondes visibles et invisibles en dépend, il faut prendre le temps de se changer (pas d'armure ! Du moulant, court, noir) avant l'action. Après l'ail fléau des vampires, le jean serait-il l'ennemi numéro un du sorcier ? C'est bien cela aussi, l'adolescence : trouver son décorum.
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Ce n’est pas que nous n'aimons pas les monstres et le surnaturel, bien au contraire, mais on aimerait bien être un peu surpris de temps en temps au cinéma. Avec La Cité des ténèbres, on peut prédire à l'avance ce qu'on va voir, des scènes d'action qui sont plutôt réussies aux séquences romantiques, enfin plutôt diluée à l'eau de rose. Peut-être que passés 14 ans et demi et avoir dépassé, contre toute attente, le stade de la midinette, la magie ne prend plus. Ne soyons pas trop sévères, le film n'est pas non plus un navet mais il sent clairement le réchauffé, essayant de prendre l'argent là où il est, c'est à dire dans le cœur d'adolescents émoustillés.
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L’action est laborieuse et complexe, même si on sait qu’on est dans le film pour ado, celui-ci est vraiment raté.
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Beaucoup plus qu’un film d’ado attardé.
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Ce énième divertissement fantastique pour ados, assez sexy et visuellement réussi, se noie malheureusement dans les clichés du genre.
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On ne nous avait pas précisé qu’il s’agissait d’une parodie de film fantastique.
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Le scénario accumule jusqu'à plus soif les scènes explicatives où de nouveaux personnages balancent des informations supplémentaires (...). Du coup les protagonistes ont à peine le temps d'exister, et les auteurs sont obligés d'interrompre l'action pendant un quart d'heure.
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Un copier-coller médiocre de « Twilight ».
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Tout va bien, et le mystère s’installe de façon convaincante... jusqu’à ce que les hormones débarquent. Quelle erreur ! Nous voilà bien en présence d’un teen-movie école Twilight, avec triangle amoureux à peine pubère et romance colorée façon Harlequin.
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Chaque spectateur aura son moment critique, certes « the mortal instruments » surpasse le banal mais pour entrer dans le ridicule.
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Tous les clichés de « Frankenstein» sont bel et bien présents, cependant ce film n’a pas conscience de sa véritable identité : ça n’est qu’une parodie.
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Aller voir « the mortal instruments » correspond à pratiquer une activité frénétique et engourdissante.
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Des références à “Star Wars”, “Harry Potter” et “Twilight”, des scènes d’action désordonnées, une surabondance de personnages, encore une fiction qui s’ajoute à la franchise de films pour adolescents.
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Il y a trop de personnages et beaucoup d’entre eux passent leur temps à se transformer. On n’y comprend rien.
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Ceux qui pensaient qu’il n’y avait pas pire que « Twilight » dans le genre film pour pré- ado se sont trompés, vous en avez la preuve avec ce film.
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Les fans indécrottables de fantasy avec des tas d'effets spéciaux trouveront peut-être leur compte face à The Mortal Instruments: City of Bones. Les autres feront mieux d'attendre la sortie du prochain Hunger Games, prévu pour fin novembre.
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Cette adaptation d'un best-seller pour ados se contente de toucher sa cible.
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Rien ne parvient donc à sauver The mortals instruments du néant qui le compose. Il en résulte une histoire proche d’un pilote de série-TV qui ne semble en aucun cas convenir au grand écran.
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Au manque d’ambition du scénario s’ajoutent une interprétation insipide et un rythme inégal. La coupe est pleine.
The Mortal Instruments : La Cité des Ténèbres