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Andrew Garfield, révélé par Auprès de Moi Toujours, régénère totalement pEter Parker. Avec nuance et délicatesse, il confère à son personnage une humanité et une profondeur inédites, particulièrement dans son histoire d'amour avec Gwen (Emma Stone). Quant aux effets spéciaux, bluffants, ils nous mettent dans la peau de Spider-Man, et nous jettent sans cesse entre deux building. Vertigineux !
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ce Spider-Man a ce qu'il faut absolument pour réussir un film de genre : un excellent méchant, campé avec délectation par le Britannique Rhys Ifans. Une vraie réussite.
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[Dans The Amazaing Spiderman, Andrew Garfield est] punchy et nuancé, il parvient chose rare, à éclipser le méchant de l'histoire : un lézard mutant auquel même la 3D n'apporte aucun relief.
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Une partie dramatique beaucoup plus convaincante que chez Raimi bien aidée en cela par Garfield et Stone qui enterrent le couple Dunst / Maguire. Pour le reste, il s’agit là d’un bon divertissement pour pré-ados et honnête pour les plus âgés.
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Les réserves sur The Amazing Spider-Man sont à mettre sur le dos d'un fond musical sans intérêt et d'un rythme parfois trop sage. Mais lorsque notre héros s'éveille pour faire face à un impressionnant homme lézard, Marc Webb met en scène des scènes de combats ébouriffantes de maîtrise. Vivement la suite!
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Si ce nouveau Spidey comme l'appellent les fans, est destiné d'abord aux ados, on assiste à un film d'une redoutable efficacité, rafraîchissant, souvent drôle et comportant des séquences d'action très spectaculaires auxquelles la 3D apporte beaucoup de crédibilité.
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Non seulement Mark Webb modernise la saga en ancrant l’action dans notre époque (Peter Parker est un skateur accro à son téléphone portable et son sweat à capuche), mais il gratifie les fans d’un spectacle visuellement bluffant, boosté par une 3D qui exploite la profondeur de champ. Passages obligés mais nouveaux enjeux (Gwen Stacy, le Lézard), plans vertigineux, humour et romance, le metteur en scène est fidèle à la mythologie, même s’il n’atteint pas l’intensité émotionnelle de la trilogie de Sam Raimi.
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Andrew Garfield épate en Spider-Man dans un reboot réussi de la saga.
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Retour émouvant de l'Homme Araignée, grâce à un vrai point de vue et une prestation ahurissante d'Andrew Garfield.
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"The Amazing Spider-Man" ne dépasse pas de bien loin le territoire du super-héros, mais en explore l'intérieur avec un certain talent.
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Spider-Man qui, seulement dix ans après sa première adaptation, s’offre déjà son propre remake. Pour ce faire, Tobey Maguire cède ses collants à Andrew Garfield (“Boy A”, “The Social Network”), et Marvel adapte sa franchise Ultimate pour lorgner du côté du public adolescent. Résultat, le manque d’originalité du propos nuit gravement à l’effet de surprise, et, bien que spectaculaire, ce nouveau “Spider-Man”, tout comme sa 3D, n’apporte pas grand-chose de neuf.
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Au final, The Amazing Spider-man porte très mal son titre, puisque effectivement il ne propose absolument rien d’étonnant, à part peut-être une scène catastrophique, plombée par les bons sentiments, où les grutiers de la ville s’unissent et alignent leur engin pour permettre à Spider-man, blessé, de se frayer un chemin jusqu’à la tour où sévit le Lézard. Si l’on ferme les yeux sur cette maladresse très américaine, tout relève du bon film de super-héros. Interprétation, réalisation, musique (James Horner offre un score assez harmonieux qui se distingue de celui de Danny Elfman)… on aime à peu près tout dans cette grosse production de qualité, tout sauf qu’encore une fois, on s’en fout un peu !
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Les seuls qui ne seront pas déçus seront sans doute les intransigeants radicaux, pour qui cette réecriture de la sage est intolérable. Parce que savoir si cette idée saugrenue de retisser l'histoire de l'homme-araignée était pertinente, c'est un peu le mystère des voix bulgares ! Les vrais aventuriers, eux, ne résisteront pas à l'appel de la curiosité. On peut y aller aussi pour Martin Sheen (...) tout en sagesse et bienveillance.
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Une relecture du mythe super moyenne.
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En proposant un nouveau départ aux aventures de l'homme araignée, les studios Sony tournent en rond. (...) A l'arrivée, le film est efficace mais jamais transcendant.
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Peter Parker est moins héroïque qu'on l'a connu, un peu moins sympathique même. Spider-Man, du coup, n'est pas aussi infaillible. (...) L'idée est belle ; on peut soutenir qu'elle sauve le film.
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Les grandes lignes du récit ne sont pas neuves, mais cet "Amazing Spider-Man" prend tout le monde dans sa toile en insistant sur l'aspect humain. (...) Du bon cinéma pop-corn.
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Un blockbuster sans surprise mais efficace, qui donne envie de découvrir la suite.
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A défaut d'être une toile de maître, ce remake dispose de tous les atouts pour s'imposer comme le carton de l'été.
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La délicate fantaisie, mais aussi l'élégance du personnage selon Raimi, s'évanouissent dans cette relecture étriquée.
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Une nouvelle version des aventures de Spider-Man qui sent le réchauffé. (...) Présentée comme une "révision essentielle", la volonté de donner à ce "Spider-Man" une dimension plus réaliste n'est qu'un gadget, surtout destiné, semble-t'il, à donner un peu de poids à l'acteur Andrew Garfield.
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De la comédie sentimentale teenage au film d'action un peu bourrin, Spider-Man rate sa mue.
The Amazing Spider-Man