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Progressivement, la question religieuse contamine le film comme ses protagonistes. Il ne s'agit plus d'opposer le vice à la vertu mais de montrer combien la frontière entre les deux est d'une porosité fascinante. Stone a beau aligner les paroles d'évangile, il ne peut s'empêcher de sentir l'alcool et la transpiration postcoïtale. Les ébats y sont empressés, sales, filmés à la va-vite.
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Une série B bancale qui vaut surtout par son casting.
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un long métrage plein d'idées passionnantes (...) L'art de De Niro est mis en valeur par la performance d'Edward Norton qui apparaît d'abord comme un machiavel des parloirs avant de façonner un personnage plus complexe
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Le film s'égare dans les clichés carcéraux, culminant avec la séquence gratuite où Norton assiste à une tuerie sanglante (...), mise en parallèle avec la coucherie de sa femme infidèle
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Thriller psychologique ampoulé, lent et lourdement parsemé de références religieuses, Stone intrigue pour une raison : De Niro. Toujours aussi usé, l'acteur trouve pourtant un film illustrant son nouveau corps dépressif.
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Retour inégal sur la fin de la dicature argentine
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On veut juste que cesse ce salmigondis mystico-biblique (…) Un aussi mauvais film au moment même où il préside le jury de Cannes : fâcheux timing pour Bob…
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On sort de Stone comme du triste Company Men le mois dernier, roulé dans la farine par une affiche All-Stars qui devient un concours de tics en solo et d'un sujet prometteur transformé en eau de boudin conservatrice.
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Le face à face entre De Niro et Edward Norton est loin de passionner, diminué par des scènes verbeuses au discours pontifiant. Reste une poignée de moments intrigants, imprégnés d’une musique atmosphérique qui confirment toute l’ambiguité de cette oeuvre absconse.
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Un déception à la hauteur des stars du film